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est-ce
un miracle
ou
du délire? |
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«DIMANCHE LE 22 AVRIL 2012 JACQUES CARTIER II C’EST MIS À LA RECHERCHE
D’UN DRAPEAU DU CAMEROUN EN PENSANT AUX ORIGINES DE SA FEMME AFANA-NANA
(YOYO) BALBINE YOLANDE EN MARCHANT SUR LA RUE SAINT-LAURENT EN CETTE
JOURNÉE DE LA TERRE CROISANT LES 300, 000 MARCHEURS SUR LA RUE
SAINTE-CATHERINE PASSANT PAR LES BOUTIQUES DU QUARTIER CHINOIS ET SE
RENDANT DANS LE VIEUX MONTRÉAL DE BOUTIQUE EN BOUTIQUE À LA RECHERCHE DE
CE DRAPEAU DU CAMEROUN ET POUR FINIR PAR SE FAIRE SERVIR PAR JÉSUS LE
CHRIST DE NAZARETH VOIRE LE ROI DES ROIS & SEIGNEUR DES SEIGNEURS SUR LA
PLACE JACQUES CARTIER UNE TIRE D’ÉRABLE 100% PUR SUR LA PIERRE DU SOC DE
LA COLONNE NELSON VOIRE LA COLONNE DE MONTRÉAL EN ME DISANT TU ES
MAINTENANT UNE COLONNE POUR MOI ET JE FAIS DE TOI EN CETTE JOURNÉE DE LA
TERRE L’APÔTRE DE LA VÉRITÉ À LA FOI SAINTE! IL ÉTAIT 18:26 HEURE
NORMALE DE L‘EST. CE MIRACLE DE MONTRÉAL AINSI QUE LA RÉVÉLATION QUI EST
VENU AVEC SURPASSES TOUS LES MIRACLES DE FATIMA RÉUNIS ENSEMBLE!
CONCERNANT LE DRAPEAU DU CAMEROUN PARCE QUE JACQUES CARTIER II L’A
CHERCHÉ DIMANCHE LE LUNDI IL L’A TROUVÉ CHEZ IMPORTATIONS EXPORTATIONS
LAM INC SUR LA RUE SAINT-LAURENT POUR L’EXPOSER AU BUREAU DE SERGE
BOURASSA-LACOMBE FONDATION!»……
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«MIRACLE» |
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Le mot miracle signifie
étymologiquement: chose surprenante et digne d'admiration. Il s'applique à un
événement inaccoutumé et imprévisible, ordinairement considéré comme
inexplicable.
Aucun de ces caractères ne peut suffire à définir le miracle. Le miracle est
nécessairement un événement rare en son genre, car un événement qui se répète
fréquemment devient habituel, même s'il est imprévisible et inexplicable; mais
il ne manque pas d'événements rares et inexplicables qui ne sont pas des
miracles. Le miracle est imprévisible, car il paraît sans relations causales
avec le reste des événements, mais l'imprévisible a sa place aussi parmi les
phénomènes naturels, en météorologie par exemple. Il en va de même pour
l'explicabilité: si le miracle paraît mystérieux, il s'en faut que nous soyons
en mesure de comprendre tout ce qui se présente dans la nature.
Le miracle se distingue des événements naturels, imprévisibles, inaccoutumés et
inexplicables, en ce que les événements naturels, si mystérieux soient-ils pour
nous, sont réputés naturels, c'est-à-dire causés par des forces naturelles avec
lesquelles ils ont des relations constantes, capables de s'exprimer par des lois
universelles, bien que notre connaissance du monde soit insuffisante pour les
exprimer encore; tandis que le miracle est réputé surnaturel, c'est-à-dire causé
par une puissance surnaturelle, sans égard aux lois naturelles ou en dépit
d'elles: ainsi nous trouvons le sens profond de l'idée de miracle qui est une
intervention surnaturelle au sein du monde naturel. Il convient en effet de
réserver le nom de miracle aux événements qui arrivent dans l'ordre des choses
naturelles: on peut, sans doute, par extension, nommer miracle les interventions
surnaturelles dans l'ordre moral ou spirituel (changements intérieurs,
conversions, etc.), mais ces miracles moraux ou religieux ne répondent pas au
sens précis du mot miracle et ne soulèvent pas les difficultés qui s'attachent
au miracle naturel. Voir Nature.
Bien des esprits considèrent qu'on ne peut pas admettre une puissance
surnaturelle qui agirait dans le monde sans égard aux lois naturelles ou en
dépit d'elles. Si les lois naturelles régissent le monde, elles ne peuvent
souffrir de dérogations: or le miracle serait, selon une expression consacrée,
une violation des lois naturelles. Il faut donc, ou renoncer à l'ordre naturel,
ou renoncer au miracle. «L'Éternel a donné des lois, il ne les violera pas», dit
le Psalmiste (Ps 148:6); que devient alors le miracle?
Seule une juste estimation de la valeur des lois naturelles et du miracle peut
résoudre l'antinomie. Nous devons donc, tout d'abord, examiner ce qu'il convient
d'entendre par loi naturelle, et comment le miracle, qui ne saurait être une
violation de lois, conserve cependant sa pleine valeur.
1.
Le miracle et les lois naturelles.
La connaissance scientifique du monde se fonde sur l'observation directe ou
indirecte des choses. Mais les observations du monde extérieur ne peuvent
constituer une science qu'autant qu'elles seront reliées les unes aux autres par
des rapports constants. Le savant reconnaît que les phénomènes naturels ont
entre eux des rapports de cause à effet: c'est seulement parce que les
phénomènes dépendent les uns des autres, parce qu'il n'y a pas d'effet sans
cause et que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, que le
savant peut tenter de comprendre le monde et de l'expliquer.
Ces relations universelles et constantes sont formulées par la science et
reçoivent le nom de lois naturelles. On a cru pendant longtemps que les lois
naturelles exprimaient l'ordre du monde et assuraient à elles seules le réglage
de l'univers: ainsi sont nées les théories mécanistes, qui veulent voir dans le
monde une machine se mouvant mécaniquement selon des lois nécessaires. Le monde
peut se transformer de mille manières, sans rien changer à son immuable rigidité
nécessaire, car tout s'opère selon des lois qui régissent tous les mouvements.
Même les choses les plus distinguées ne sont que le résultat d'actions
physiques, et il serait vain d'admettre une action extérieure sur les événements
nécessaires d'un monde déterminé par des lois.
Mais une telle théorie, pour avoir eu une grande vogue, n'en est pas moins
fortement ébranlée aujourd'hui, non seulement par la science elle-même, mais par
la logique. Contre elle se dressent, au coeur de la science, des principes
nouveaux. Le principe de Carnot laisse entendre que le monde ne peut produire
deux fois la même figure, qu'il tend vers un état d'équilibre calorifique et que
la formule «rien ne se crée, rien ne se perd» est à tout le moins exagérée. Les
principes d'évolution, que ce soit selon le mode de Darwin, de Lamarck, de de
Vries ou d'autres, posent des constatations analogues. Malgré la défense des
savants, des voies nouvelles sont ouvertes à l'esprit pour supposer que le monde
a un but et ne tourne pas en rond.
D'autre part les théories mécanistes sont contraintes d'englober dans
l'étroitesse de leur déterminisme cosmique les actions humaines. La liberté et
la morale disparaissent, l'une devenant une pure illusion, l'autre une pieuse
absurdité dont le fondement réel n'est pas une question d'obligation de
conscience, mais une question de relation sociale.
Si l'on sort de ces conceptions étroites et insuffisantes, le monde apparaît,
non plus comme une mécanique, mais comme une histoire; l'homme, de ce chef,
n'est plus un ridicule jouet qui se
berne lui-même--accident physico-chimique de la croûte terrestre--, mais un
acteur de l'histoire, un agent conscient et responsable. Il lui est alors
loisible de chercher de tout son être à comprendre les mystères de la création
et à pénétrer les secrets des lois de la nature, sans perdre de vue que ces lois
n'épuisent pas la réalité, mais en sont simplement une fragmentaire expression.
Il est évident qu'on ne peut admettre le miracle dans un monde déterminé
mécaniquement par des lois. S'il y a des lois, elles ne peuvent être violables à
merci, fût-ce par le Créateur.
Certes on peut entendre que le jeu des lois est fort compliqué et que toute loi
peut être modifiée ou inhibée par le jeu d'une autre loi. L'avion, par exemple,
se fondant sur une loi de la résistance de l'air, peut violer la loi de la
pesanteur en faisant voler du plus lourd que l'air. Il est loisible dès lors de
comprendre que Dieu peut mettre en oeuvre des lois que nous ignorons encore et
produire des phénomènes inexplicables.
Les savants ont laissé
s'implanter dans l'esprit du public l'idée fausse et funeste que les lois
régissent le monde. Or les lois ne sauraient rendre compte de la marche
historique du monde où nous vivons. Elles s'appliqueraient aussi parfaitement à
des mondes radicalement différents du nôtre, et permettraient la construction de
toute sorte d'univers, sans rien changer à leur expression. Les lois n'ont pas,
comme le pensent des esprits superficiels, de puissance par elles-mêmes: un
pendule oscille sans calculer la racine carrée de sa longueur, et la lampe
électrique ignore sa résistance au courant qu'elle devrait connaître pour
appliquer la loi de Joule.
Les lois ne sont que des transcriptions dans notre pensée de relations
naturelles qui débordent cette pensée, parce que les relations mécaniques qui
existent entre les phénomènes en sont les conditions, mais non le déterminisme.
Les phénomènes ont entre eux des relations régulières et constantes, parce
qu'ils ne sont pas possibles en dehors de certaines conditions. Ces conditions,
la science les étudie et les exprime dans des lois Les lois sont par conséquent
l'expression de la possibilité des phénomènes naturels: cela seul est possible
qui est conforme à une loi.
Mais les lois naturelles, prévoyant tout ce qui est possible, se bornent à
exprimer les conditions des choses: la réalité, le déterminisme du monde, ce qui
fait qu'il est tel qu'il est et non autrement, échappe complètement à l'emprise
des lois. Les lois sont générales et universelles, tandis que le réel est
particulier et unique. Bacon disait à juste titre qu'il n'y a de science que du
général: il faut ajouter qu'il n'est de réalité que du particulier. Ainsi les
lois ne régissent rien du tout: elles formulent seulement les conditions de la
possibilité des choses. Le déterminisme du monde n'est pas, comme le pensent les
théories mécanistes, une immanente nécessité; il est une puissance
transcendante.
Le gouvernement du monde, son évolution comme sa création, appartiennent à Dieu.
On comprend dès lors aisément comment Dieu peut ordonner dans le monde les
phénomènes naturels selon sa volonté créatrice: l'Éternel règne. Mais on
comprend aussi combien il est faux de dire que le miracle est une violation des
lois de la nature, puisque, pour violer une loi, il faut appeler à l'être
l'impossible, le néant.
Tout est possible à Dieu, car il connaît toutes les possibilités du monde,
c'est-à-dire toutes les lois, connues de nous ou non; c'est toujours en accord
avec ces lois que l'action de Dieu se manifestera dans le monde.
2.
Le miracle et la conscience religieuse.
La conscience religieuse assiste à chaque instant à des miracles. Elle appelle
miracle l'apparition d'événements que ne comportait pas la marche normale des
choses et qui manifestent par conséquent une intervention de Dieu.
Sans doute les miracles moraux ou religieux sont pour elle les plus fréquents,
mais il n'est pas rare qu'elle voie, jusque dans l'ordre matériel,
l'intervention directe de Dieu, expérimentant ainsi la profondeur de la pensée
de l'apôtre: «La piété a les promesses de la vie présente et celles de la vie à
venir.» Pour le croyant le miracle n'est qu'une forme de la Providence de Dieu,
forme frappante parce qu'inattendue et manifestement puissante. Le miracle est
pour lui le témoin de la réalité des choses spirituelles, le témoin de la
présence de Dieu dans sa vie et dans le monde qui l'entoure, de son amour, de sa
puissance.
C'est pourquoi le miracle est le sceau de sa vie spirituelle. C'est lui qui, non
seulement traduit à ses yeux la puissance de Dieu, mais de plus tend à
constituer dans son coeur le trésor d'expériences spirituelles personnelles qui
sont la seule preuve intangible de la réalité de sa communion avec Dieu,
c'est-à-dire de sa vie religieuse.
Le miracle ne doit donc pas être envisagé comme une action fantaisiste et
capricieuse de Dieu, mais comme une action surnaturelle de Dieu s'insérant dans
l'ordre naturel. Le miracle n'est jamais une violation des lois naturelles: il
demeure toujours conforme à quelque loi et n'est pas inexplicable en soi. Il
semble à tort qu'un miracle explicable n'est plus un miracle.
Certes le miracle incompréhensible, anormal, prodigieux, impose et paraît seul
digne d'un Dieu puissant. Pour que le miracle soit inexplicable et exceptionnel,
il faut qu'il soit une dérogation à des lois naturelles reconnues comme assurant
normalement l'ordre et la marche du monde; autrement dit, le miracle-prodige
impose la croyance à un ordre nécessaire des choses.
Au contraire, si l'on voit dans le miracle une intervention de Dieu conforme à
l'ordre légal, le miracle devient à la fois explicable en soi et fréquent, on
pourrait dire normal: Dieu règne sur le monde. Dès lors le miracle revient près
de nous; il entre à nouveau dans nos vies quotidiennes. Il devient possible de
reconnaître sans arrière-pensée l'activité de Dieu dans le monde et de
contempler sa divine Providence et son oeuvre créatrice.
Le miracle est à chaque pas de la vie du croyant: seul le souci de voir des
prodiges nous empêche de le reconnaître. Il ne faut pas être de ces croyants
qui, résignés, proclament que l'ère des miracles est close: ce ne sont pas les
miracles qui sont taris, mais notre foi. S'il y avait des miracles autrefois,
c'est qu'on savait reconnaître tout simplement l'action de Dieu dans le monde,
sans s'embarrasser de notions fausses sur les lois naturelles, sans chercher par
conséquent des prodiges de charlatans.
La conception vulgaire du miracle présente un autre danger: accréditant l'idée
que n'importe quoi est possible, elle ouvre la porte à la superstition et au
magisme. Le surnaturel chrétien ne doit pas être un contre-naturel, sous peine
de ne pouvoir être défini avec la précision voulue; si l'on refuse le contrôle
des lois de la nature pour les actions surnaturelles, on ne peut plus distinguer
le surnaturel chrétien du «surnaturel» païen.
Certes l'ordre des lois de la nature, nous l'avons dit, n'est qu'une vue
théorique: le déterminisme pratique, historique du monde appartient à Dieu. Mais
l'ordre théorique, expression de la possibilité naturelle des choses, conserve
toute sa valeur, comme moyen de connaissance et de compréhension du monde
(science pure) et comme moyen d'action sur le monde par la connaissance de ses
possibilités (sciences appliquées, arts).
On pourra prétendre que seul un miracle prodigieux peut prouver la puissance de
Dieu. Autrefois l'apologétique déduisait des miracles bibliques, et spécialement
des miracles de Jésus, la preuve de la valeur du message évangélique. Cette voie
est aujourd'hui heureusement abandonnée. On estime que c'est la vie de Jésus, sa
personne et son oeuvre et la valeur religieuse de la Bible qui accréditent les
miracles bibliques. Il faut renoncer à administrer la preuve du surnaturel: un
prodige ne prouvera jamais rien à ceux qui n'admettront pas préalablement son
origine surnaturelle.
Les plus éminents miracles dont le chrétien bénéficie sont ceux qui ont le moins
l'air «miraculeux»; ils sont habituels: la création, la rédemption, la prière,
etc.
En présence d'un miracle le monde parle de chances, de coïncidences, de hasard,
etc. Le croyant, lui, sait à quoi s'en tenir, car il ne se soucie, ni de prouver
l'inexplicabilité du miracle, ni de lui trouver une explication. Il considère le
miracle comme une oeuvre de Dieu. Il ne réclame nullement que l'action divine
soit aussi irrationnelle et incompréhensible que possible; il cherche seulement
la valeur religieuse de l'événement miraculeux.
Si, faisant oeuvre de science, il tente l'explication du miracle, c'est-à-dire
s'il recherche les conditions dans lesquelles Dieu a agi, ses études doivent
réussir, parce que Dieu n'a violé aucune loi. Mais l'explication possible d'un
miracle n'ôte rien de sa valeur aux yeux du croyant. Quand même il serait prouvé
qu'un raz de marée repoussa les eaux de la mer Rouge, la foi du chrétien n'en
serait pas ébranlée. Il devra au contraire bénir Dieu de lui enlever un souci
rationnel, d'ailleurs légitime, en lui permettant de comprendre son action. La
valeur religieuse du miracle demeurera toujours: Dieu est intervenu pour sauver
Israël de la maison de servitude.
Une fois connues les conditions dans lesquelles s'est opéré un miracle, celui-ci
perdra son caractère fantastique: il n'en sera que plus assimilable à la vie
propre de l'enfant de Dieu. La valeur du miracle n'est pas son invraisemblance,
mais l'oeuvre qu'il accomplit. Pourquoi Dieu opérerait-il d'impossibles
révolutions quand sa sagesse peut commander normalement le monde et y réaliser
les fins qu'il s'est proposées? Le miracle de la mer Rouge, auquel nous avons
fait allusion, est expliqué par l'écrivain sacré lui-même: «Il se leva un grand
vent d'Orient» (Ex 14:21). N'est-il plus question de miracle parce que Dieu
n'envoya pas deux anges pour tenir en respect la muraille liquide?
3.
Le miracle et la Bible.
Il est de nombreux passages où les événements ne sont pas rapportés avec autant
de précisions: l'écrivain sacré ne s'est jamais posé les questions que notre
mentalité moderne nous amène à poser. Les récits bibliques n'ont que faire des
explications scientifiques dont nous sommes assoiffés. Ils rendent témoignage à
la puissance de Dieu, et, comme Dieu agit sans s'occuper de notre science, Il
fit bien des choses auxquelles les auteurs sacrés ne comprirent rien, sinon que
Dieu intervenait. Il est donc naturel que leurs récits soient, d'un point de vue
scientifique qui était bien en dehors de leurs préoccupations, insuffisants,
déconcertants ou incompréhensibles.
Il serait puéril de repousser un miracle parce qu'il ne serait pas relaté en
termes scientifiques modernes. A ce compte-là il faudrait contester que
Descartes eût de l'esprit parce que le siège de l'intelligence n'est pas dans la
glande pinéale comme il le pensait. Le chrétien doit rechercher la valeur
religieuse des choses bibliques et non leur prêter une portée scientifique. Si
Balaam entendit parler son âne, il ne s'ensuit pas que les ânes puissent
parler.
Il est vrai que plusieurs miracles ont un caractère nettement invraisemblable.
Le chrétien ne doit pas perdre de vue que l'écrivain sacré n'était pas rebuté
par les mêmes scrupules rationnels ou scientifiques que lui. Que le soleil se
soit arrêté sur Gabaon est d'une invraisemblance totale; l'explication
astronomique que fournit l'écrivain sacré a-t-elle une valeur souveraine? Il
entend exprimer de façon à la fois précise et poétique que Dieu intervient
miraculeusement: cela seul nous importe; il n'y a pas à faire de la science avec
les choses religieuses.
Tenterons-nous d'expliquer un à un tous les miracles de la Bible?--Non. Le
croyant sait à quoi s'en tenir avec ce qui précède et ce que lui dicte son coeur.
Les miracles de la Bible sont ce qu'ils sont. Ils se présentent sans appareil
scientifique, ou du moins sans prétentions scientifiques, sans honte et sans
fard, dans leur splendide brutalité, aspirant non à nous étonner et moins encore
à nous instruire, mais à nous montrer avec éclat la puissance souveraine de
Dieu.
La grande majorité des miracles de l'A.T, sont rapportés au cours de l'exode des
Hébreux et pendant le ministère d'Elie et d'Elisée. Les premiers sont, pour la
plupart, explicables aujourd'hui, ce qui ne leur ôte rien de leur valeur
religieuse qui, comme nous venons de le dire, ne réside pas dans
l'invraisemblance, mais dans l'intervention de Dieu pour que toutes choses
concourent au bien de ceux qui l'aiment (cf. les plaies d'Egypte, etc.). Les
seconds ont le
caractère spécial de miracles à conviction, véritables lettres de crédit des
prophètes. De même pour Ésaïe, dans 2Ro 20:10.
Le récit de la victoire de Josué nous montre la facilité avec laquelle les
écrivains sacrés admettaient les interprétations du miracle. Le récit mentionne
que l'Éternel arrêta le soleil, ce qui paraît n'être qu'une paraphrase du chant
poétique (Jos 10:12-14). La Bible nous rapporte ces récits, fût-ce en un style
imagé, l'action miraculeuse de la main puissante de Dieu.
Les miracles du N.T. sont accomplis par Jésus et par ses disciples. Jésus a
toujours évité de se servir de sa puissance surnaturelle pour contraindre les
gens à le suivre: il ne voulait pas qu'on le prît pour un thaumaturge. Le
caractère dominant de ses miracles est un but de bienfaisance et de soulagement
de la misère; ils nous montrent que la foi et la puissance qu'ils confèrent
peuvent seules remédier à la misère où le péché a plongé l'humanité.
Jésus a refusé de faire des miracles pour lui-même; (Mt 4:6 16:4,Jn 4:48) il a
toujours exigé avant toute intervention surnaturelle la foi de celui qui devait
être l'objet de sonaction (Mt 13:58,Lu 8:43,45,Jn 5:6-8).
C'est au nom du Père et par le Père que Jésus fait ses miracles: pour ses
miracles, comme pour tout, Jésus puisait auprès de Dieu ses forces et ses
directions par la prière (Jn 11:41).
Les apôtres, revêtus de la puissance de l'Esprit, ont été capables d'accomplir
des miracles. On peut sans peine voir la grande différence d'inspiration entre
les miracles du Sauveur et ceux des disciples. Mais le livre des Actes est
parsemé de miracles qui montrent que la promesse du Christ se réalisait dans la
primitive Église (Ac 2 43 5:12,16 6:8 8:13 3 7 14:9 9:34 16:18 28:8 9:40
20:10).
Dans notre N.T. le mot miracle est employé sans aucune précision. Le texte sacré
est autrement plus riche que nos traductions et montre la valeur essentielle de
l'intervention divine. Le mot miracle, dans son acception vulgaire, traduit fort
mal le sens des mots bibliques. Les trois évangiles synoptiques, relatant les
oeuvres de Jésus, n'emploient jamais, à proprement parler, le mot miracle. Le
mot grec le plus souvent employé, dunamis, signifie puissance, pouvoir. Ce mot
se trouve dans Mt 7:22 11:21 13:54-58 14:2 Mr 9:39 Lu 19:37 Ac 19:11 1Co
12:10,29, etc. L'action miraculeuse du Christ n'est pas présentée comme un
prodige, mais comme l'effet naturel d'une puissance surnaturelle; Jésus ne
«faisait pas des miracles», il «exerçait son pouvoir». On mesure combien cette
notion est éloignée du sens du mot miracle et combien elle est plus claire et
spirituellement plus riche.
Le 4e évang, se sert presque exclusivement d'un autre mot: sèméïon, dont le sens
est signe, preuve. On trouve ce terme dans tout l'évangile de saint Jean et
l'Apocalypse (où il est traduit par prodige); on le trouve aussi dans Mt 12:39
24:3-30,Mr 16:17-20,Lu 23:8,Ac 4:16,30 8:6,13,Ro 4:11,1Co 1:22,2Co 12:12,2Th
3:17. Ici encore le sens vulgaire du mot miracle ne se retrouve pas; les oeuvres
de Jésus sont présentées comme des signes de Dieu ou des preuves de sa puissance
surnaturelle.
Dans les Actes et les épîtres on rencontre les deux mots mentionnés, mais
souvent se trouve un autre mot grec, téras, dont le sens se rapproche davantage
du sens ordinaire du mot miracle, et que nos versions rendent le plus souvent
par prodige. Ce mot n'est pas employé seul, mais avec «signe» ou «pouvoir»; il
signifie proprement anomalie, événement anormal, miracle. (On le rencontre dans
Mt 24:24,Ac 2:19,22,43 5:12 6:8 4:30 15:12,1Ch 1:22,2Co 12:12,Ga 3:5,2Th 2:9,Heb
2:4) Mais le mot grec ne peut évidemment pas contenir le sens présenté par le
mot miracle dans son acception courante de violation des lois naturelles, car la
notion d'ordre naturel était étrangère aux écrivains sacrés; le sens propre de
ce mot téras est «monstruosité».
Enfin, très rarement, on rencontre le mot thauma (d'où thaumaturge), qui
signifie proprement événement-étonnant, admirable (2Co 11:14, cf, thaumasia, Mt
21:15).
Notons en terminant qu'il ne faut pas perdre de vue, lorsqu'on parle du miracle,
la réalité de puissances d'un ordre plus élevé que les forces physico-chimiques
seules étudiées jusqu'ici. La science n'a guère consenti encore à prêter
attention aux phénomènes métapsychiques qui, en dépit de bien des supercheries
et de beaucoup d'interprétations erronées, présentent quelques faits aussi
certains que mystérieux. C'est un lieu commun, d'autre part, de parler
aujourd'hui de l'action du moral sur le physique.
Enfin, la puissance spirituelle réclamée pour accomplir des miracles est
fonction de la communion avec Dieu et de la foi, ainsi que Jésus l'a enseigné à
ses disciples (Mt 17:20,Lu 17:6,Mt 21:22,Jn 14:12). H. L.
Révision Yves Petrakian 2005
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FINALEMENT
est-ce
du délire
ou
un miracle? |
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«C'EST
QUOI ÇA
LE DÉLIRE?»
«LE DÉLIRE
C'EST QUOI ÇA?» |
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Un
délire est, dans le domaine de la
psychologie, une perturbation globale, parfois aiguë
et réversible, parfois chronique, du fonctionnement de la
pensée.
Contrairement aux
hallucinations, les illusions sont toujours
pathologiques (résultat d'une
maladie
ou du processus d'une maladie)1.
En tant que pathologie, il se distingue par une croyance basée sur une
information fausse ou incomplète,
dogme,
faible
mémoire,
illusion
ou autres effets de
perception.
Les délires
surviennent habituellement dans le contexte d'une
maladie mentale
ou neurologique, bien qu'ils ne soient liés à aucune
maladie particulière et qu'ils puissent apparaître dans le contexte de certains
états pathologiques (aussi bien physiques que mentaux). Cependant, ils sont
d'une importance particulière dans le diagnostic des troubles
psychotiques
incluant
schizophrénie,
paraphrénie,
épisodes
maniaques
du
trouble bipolaire
et la
dépression psychotique.
et puis! finalement, à
la lumière de ces définitions est-ce que la tire d'érable 100% pure servie par
jésus le christ de nazareth à son serviteur jacques cartier ii sur la pierre du
socle de la colonne nelson de la place jacques cartier de Montréal lors de la
journée de la terre 2012 le dimanche 22 avril à 18:26! est-ce e un miracle ou du
délire? croyez que les psychiatres, les psychanalystes et psychologues hâtés
s'accorderont ensemble pour vous faire croire que c'est du délire alors que les
gens qui marche par la foi comme moi qui est le maître web de ce site internet
depuis «mille neuf cents quatre-vingt-dix-huit» «MCMXCVIII» «1998» au miracle et
aussi au délire. mais nous ont fait très attention pour ne pas marcher par la
vue en appelant le bien mal et le mal bien et nous croyons que de qualifier un
miracle de délire on un délire de miracle c'est-a-dire travailler à déformer la
réalité provoque malédiction en poussant même les gens à devenir dangereux pour
eux ou envers les autres.
en tant que l'apôtre de la vérité
à la foi sainte depuis que jésus le christ de nazareth qui est souverain
car il est le roi des rois et seigneurs des seigneurs même si notre foi n'est
pas au rendez-vous. roi de la force mentale et prophète de la vérité à la foi
sainte pour jésus le christ de nazareth celui qui vient après l prophète mahomet
depuis le jeudi 8 mars 2012, «huit» «viii» «8» seigneur depuis mercredi le 8
février 2012 voire seigneur du mont-royal par la volonté du souverain!
voyons voir ce que je peux vous
transmettre encore de ce que je connais de la parole de notre père qui est aux
cieux... :
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Malheur à ceux qui appellent
le mal bien, et le bien mal,
Qui changent les ténèbres en lumière,
et la lumière en ténèbres,
Qui changent l'amertume en douceur,
et la douceur en amertume!
(Isaïe 5:20) |
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2 Corinthiens 5:1-21
Galates
3:1-29
Hébreux
11-12:2
le fils
de l'homme, c'est Jésus-Christ mort sur la croix pour nous tous.
c'EST POUR CELA QU'IL FAUT ENRICHIR NOS CONNAISSANCES BIBLIQUES AFIN DE
COMPRENDRE LE
Simple Plan du Salut
QUE DIEU A CONÇU POUR NOUS AFIN
QUE NOUS OBTENIONS LA VIE ÉTERNEL!
je soussigné, serge joseph adrien
bourassa-lacombe, né à verdun le jeudi 20 juin 1957 à 09:12 déclare, persiste et
signe que je suis le présentateur du contenu de cette page internet !
téléphone: +1 514 442 0803
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