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- NATURE DE LA PLAINTE
- Résumez l'incident et expliquez vos reproches. Si vous reprochez aux
policiers(ères) ou constables spéciaux des propos injurieux, obscènes,
blasphématoires, discriminatoires ou irrespectueux, veuillez s.v.p. rapporter les mots
employés aussi exactement que possible.
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- En cette journée du 18 juillet 1995, je soussigné
président et contrôleur d'une fondation qui porte mon futur nom soit celui de
Serge Bourassa-Lacombe. Fondation qui a pour but d'enrayer la torture physique et
/ou
mentale dans le domaine médical suite à une expérience vécue au CHUS entre le 11
février et le 12 avril 1995, dossier #398 068 voir lettre annexe page 27 à 43
inclusivement expliquant cette torture. Qui plus est, intoxication provoquée par
l'équipe médicale (voire page 36 2e paragraphe).
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- Libéré de cet hôpital le12 avril 1995 pour être par la suite
persécuter réellement par la médecine, ce qui entraîna le besoin d'un traitement pour
un pied d'athlète et fongus.
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- Afin de désengorger la salle d'urgence d'un hôpital pour des
pieds qui n'arrivent pas à guérir depuis déjà deux semaines. Je me rends à une
clinique médicale qui me dit qu'on ne peut pas me donner les soins
appropriés, bilan +
ou - 5 cliniques visitées. Finalement toujours munis d'une carte d'assurance maladie avec
ma photo, la dernière clinique visitée me demande d'aller au CLSC
St-Henri. Surpris
à mon arrivée : incapable sont-ils de m'apporter les soins requis, ils m'indiquent
d'aller à l'hôpital de mon choix. J'ai choisi l'hôpital ou je suis né. J'arrive vers
21:00 et je transmets ma carte d'assurance maladie avec ma photo à l'accueil de
l'hôpital en montrant l'état de mes pieds. Surprise, le docteur de garde vient me voir
vers 22:00 pour me demander qu'est-ce qu'il peut faire pour moi ? Je lui indique que j'ai
un problème aux pieds et lui indique l'irritation de mon entrejambes causée par cette
injustice sociale. Je lui demande aussi d'appeler le CHUS et de leurs demander de lui
faire parvenir mon dossier médical par fax. Qui plus est, je lui fais part que je n'ai
pas mangé de la journée et que j'aimerais le faire. Il me dit que la cuisine est
fermée. Je lui demande poliment 12 jus d'orange ou de pomme pour rassasier ma
faim. Tout
ce temps mes pieds sont douloureux. On me donne deux jus et encore deux jus quantité
obtenue 24 onces. L'équipe médicale est très lente à réagir, on ne me soigne pas. On
attend que le temps fasse son travail, on est entrain de causer une hypoglycémie chez
moi, soit un état reflétant les mêmes symptômes qu'un psychopathe en état de
crise.
Je vois venir cet état d'hypoglycémie en moi et étant donné que l'équipe médicale
(voire celle de la journée du 18 juillet 1995 !) Je dis au médecin :
«Toi, tu veux
m'amener dans un état d'hypoglycémie, tu ne veux pas me guérir. Et moi qui possède une
carte d'assurance maladie en règle, j'ai le droit selon la Charte canadienne des droits
et libertés de l'homme d'être soigné dans cet hôpital. Alors, si tu ne veux pas me
soigner appelle la police, ça presse !»
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- La police est venue (voire lettre annexée page 55-56) pour : je
croyais m'aider à convaincre le médecin de guérir mes pieds.
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- Pourquoi, est-ce que ce soir du 18 juillet 1995 on est venu
m'entourer à l'hôpital ? Dans la salle ou j'étais 8 policiers étaient près de moi
dont un vêtu d'une chemise blanche. Il y en avait aussi dans le corridor ainsi que dans
la rue. Combien étaient-ils au total ? Pourquoi étaient-ils si nombreux ? Qu'avait dit
le docteur au téléphone ? Pourquoi étaient-ils tous armés devant moi ? Pourquoi
avaient-ils tous peur de moi ? Moi, qui était armé d'un stylo à bille en or «Cross».
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- Un policier à parlé, il était vêtu d'une chemise blanche :
«Il y a un lit, tu vas t'y coucher !» Pourquoi me disais-je à l'intérieur de moi ?
C'est alors que je pris la parole pour leur dire, afin qu'ils comprennent tous : «Je n'ai
pas à me coucher sur ce lit moi. Je ne suis pas agressif du tout, mes pieds me font
souffrir et le médecin ne veut pas me guérir. C'est pour cela que vous êtes ici.»
C'est alors que le même policier à la chemise blanche me dit : «Veux-tu qu'on utilise
la force !» Et cela il le fait d'un ton très gonflé. Hors, moi qui n'ai pas à me
coucher dans ce lit, je me gonfle le torse devant eux et répète encore la même chose
devant eux.
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- Ensuite, un policier vêtu d'une chemise bleu pourvu de bras 2
fois plus gros que les miens, place l'intérieur de sa main gauche sur mon bras droit pour
me déplacer vers le lit. L'essai devient un échec car je n'ai pas bougé de 1/1000e de
mm, c'est comme si ce dernier avait tenté la même chose avec une statut de 2 tonnes.
C'est à ce moment là que je découvre que DIEU est plus fort que la police, expression
très connu. C'est pour cette raison d'ailleurs que je me concentre à décrire cet
événement historique comme celle de cet ex-chauffeur de taxi l'honorable Richard
Barnabé. Le but de mon exercice est de construire plutôt que de détruire afin d'éviter
d'autres événements semblable.
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- Je vous rappelle que le 18 juillet 1995, M. Richard Barnabé
était couché dans un lit d'hôpital attaché à plusieurs appareils qui le conservait en
vie dans un état neurovégétatif à ce moment là. C'est en pensant à lui, au moment de
vivre cette situation que je leurs ai dis en gesticulant, sans agressivité et tout en
pointant le lit : «OK ! OK ! J'ai compris, c'est là qu'il faut que je me couche, hein !
C'est là qu'il faut que je me couche, hein !» C'est alors que trois policiers ont tiré
chacun de leur côté une partie de mon veston pour tenter que les coutures brisent. «Non
! Non ! Je vais me déshabiller tout seul» et on me laissa faire. À ma demande, je peux
garder mon sous-vêtement (voir slip ou bobette). Puis, en les regardant dans les yeux un
à un car je suis au centre et en pivotant sur moi-même devant eux, je leurs dit :
«Regardez bien cela vous autres.» Je me prépare à sauter dans ce lit d'hôpital sans
toucher à celui-ci de mes mains, soit directement sur le matelas. Qui plus est, le
derrière de ma tête, mon fessier et mes chevilles ont touché le matelas au même
moment. C'est alors qu'ils ont dit: «Hou ! Avez-vous vu cela, vous autres !» Pourquoi
m'ont-ils attachés sévèrement avec ces lanières de cuir qu'on se sert pour
contentionner des humains au potentiel de dangerosité pour la société ou pour
eux-mêmes ? Car moi, en aucun temps même dans le dossier CHUS 398 068, je n'ai pensé
devenir dangereux ni pour moi ni pour les autres i.e. en aucun temps j'ai pensé me
suicider ou blesser quelqu'un qui a été très malade à mon endroit. Tout cela parce que
je pensais qu'ici au Québec dans le Canada, je croyais légitime mon droit à mes
croyances religieuses. Pourquoi ensuite un infirmier et une infirmière m'ont introduit
une substance incolore et inconnu par moi, mais connu par eux ? Qu'est-ce qu' il y avait
dans ces seringues, dont on m'introduit la médecine intramusculaire ? Puis c'est alors
qu'un policier dit : «DIEU vient sauver ton fils maintenant.» Tandis qu'un autre vient
me rire en pleine face en me disant : «Demande à ton petit Jésus de venir te sauver
maintenant.» Puis un rire fut généralisé par une équipe médicale et policière à
Verdun en ce 18 juillet 1995. Pendant que nos gouvernements se penchent afin de trouver
les moyens de sauver des sous. La seule chose qui me préoccupe depuis le début, c'est de
construire une province ainsi qu'un pays meilleur car souvent le prix à payer ce sont des
victimes innocentes. Moi, Serge Bourassa-Lacombe alias Victor DeLamarre II 388 jours
d'exils aux États-Unis Martin Luther King Jr Le Blanc Tout Était Parfait Avec Le Noir
Nothing Was Wrong With The Black.
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- Aujourd'hui, en ce 19 mars 1997 anniversaire de Joseph le père
de Jésus. Je vis pour le bien de tous en ce 679 jours de vie sans revenu causé par cette
injustice sociale, victime d'acte criminel causé par méfait public, erreur judiciaire et
faux rapport médical 398 068, bilan décrit à l'arrière de ma carte d'affaire. Je
continu dans ma foi, la Foi en DIEU le Père TOUT-PUISSANT, Créateur du ciel et de la
terre qui a envoyé son Fils Jésus sur la terre afin de nous sauver de nos péchés et
qui nous nourris de son Esprit afin que l'on obtienne la lumière suffisante pour nous
maintenir dans la Volonté du Tout-puissant, NOTRE-PÈRE. La Sainte Trinité, moi j'y
crois en cette Foi qui peut soulever des montagnes. D'ailleurs Benjamin Franklin avait dit
: «La plume est plus forte que l'épée.» Et a obtenu l'indépendance des États-Unis.
Tandis que le poète Lafontaine croyait que : «Patience et longueur de temps valent mieux
que force et que rage.» Tandis que moi je vous dis que : «La puissance de croire en DIEU
et notre prière, c'est plus puissant que n'importe quoi. Lorsqu'IL décide rien peu si
opposer.»