Plainte en Déontologie Policière contre la Communauté Urbaine de Montréal le 19/03/97 à 16 h 05 !

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Commissaire
à la déontologie
policière
1200, Route de l'Église, RC.20
Sainte-Foy (Québec) G1V 4Y9
Téléphone : (418) 643-7897
Télécopieur : (418) 528-9473
Plainte
PLAIGNANT(E) Note: La loi prévoit que toute plainte doit être formulée par écrit.
NOM: Bourassa-Lacombe PRÉNOM: Serge Joseph Adrien DATE DE NAISSANCE: 20 juin 1957 09:12
ADRESSE: 103, Rue Oxford-Crescent #105, Lennoxville (Québec) Canada J1M 2G3
Téléphone (rés.) (819) 566-4951
 
Je désire me plaindre de la conduite des policiers(ères) ou constables spéciaux suivants:
NOM DU CORPS POLICIER CONCERNÉ CUM POSTE: #22 &...?
 
DATE DE L'INCIDENT À L'ORIGINE DE LA PLAINTE: 1995 07 18
Généralement, le délai pour déposer d'une plainte est de deux ans à compter de la faute reprochée.
 
LIEU DE L'INCIDENT (Municipalité, route...)
Hôpital de Verdun voire Centre Hospitalier de Verdun
 
NATURE DE LA PLAINTE
Résumez l'incident et expliquez vos reproches. Si vous reprochez aux policiers(ères) ou constables spéciaux des propos injurieux, obscènes, blasphématoires, discriminatoires ou irrespectueux, veuillez s.v.p. rapporter les mots employés aussi exactement que possible.
 
En cette journée du 18 juillet 1995, je soussigné président et contrôleur d'une fondation qui porte mon futur nom soit celui de Serge Bourassa-Lacombe. Fondation qui a pour but d'enrayer la torture physique et /ou mentale dans le domaine médical suite à une expérience vécue au CHUS entre le 11 février et le 12 avril 1995, dossier #398 068 voir lettre annexe page 27 à 43 inclusivement expliquant cette torture. Qui plus est, intoxication provoquée par l'équipe médicale (voire page 36 2e paragraphe).
 
Libéré de cet hôpital le12 avril 1995 pour être par la suite persécuter réellement par la médecine, ce qui entraîna le besoin d'un traitement pour un pied d'athlète et fongus.
 
Afin de désengorger la salle d'urgence d'un hôpital pour des pieds qui n'arrivent pas à guérir depuis déjà deux semaines. Je me rends à une clinique médicale qui me dit qu'on ne peut pas me donner les soins appropriés, bilan + ou - 5 cliniques visitées. Finalement toujours munis d'une carte d'assurance maladie avec ma photo, la dernière clinique visitée me demande d'aller au CLSC St-Henri. Surpris à mon arrivée : incapable sont-ils de m'apporter les soins requis, ils m'indiquent d'aller à l'hôpital de mon choix. J'ai choisi l'hôpital ou je suis né. J'arrive vers 21:00 et je transmets ma carte d'assurance maladie avec ma photo à l'accueil de l'hôpital en montrant l'état de mes pieds. Surprise, le docteur de garde vient me voir vers 22:00 pour me demander qu'est-ce qu'il peut faire pour moi ? Je lui indique que j'ai un problème aux pieds et lui indique l'irritation de mon entrejambes causée par cette injustice sociale. Je lui demande aussi d'appeler le CHUS et de leurs demander de lui faire parvenir mon dossier médical par fax. Qui plus est, je lui fais part que je n'ai pas mangé de la journée et que j'aimerais le faire. Il me dit que la cuisine est fermée. Je lui demande poliment 12 jus d'orange ou de pomme pour rassasier ma faim. Tout ce temps mes pieds sont douloureux. On me donne deux jus et encore deux jus quantité obtenue 24 onces. L'équipe médicale est très lente à réagir, on ne me soigne pas. On attend que le temps fasse son travail, on est entrain de causer une hypoglycémie chez moi, soit un état reflétant les mêmes symptômes qu'un psychopathe en état de crise. Je vois venir cet état d'hypoglycémie en moi et étant donné que l'équipe médicale (voire celle de la journée du 18 juillet 1995 !) Je dis au médecin : «Toi, tu veux m'amener dans un état d'hypoglycémie, tu ne veux pas me guérir. Et moi qui possède une carte d'assurance maladie en règle, j'ai le droit selon la Charte canadienne des droits et libertés de l'homme d'être soigné dans cet hôpital. Alors, si tu ne veux pas me soigner appelle la police, ça presse !»
 
La police est venue (voire lettre annexée page 55-56) pour : je croyais m'aider à convaincre le médecin de guérir mes pieds.
 
Pourquoi, est-ce que ce soir du 18 juillet 1995 on est venu m'entourer à l'hôpital ? Dans la salle ou j'étais 8 policiers étaient près de moi dont un vêtu d'une chemise blanche. Il y en avait aussi dans le corridor ainsi que dans la rue. Combien étaient-ils au total ? Pourquoi étaient-ils si nombreux ? Qu'avait dit le docteur au téléphone ? Pourquoi étaient-ils tous armés devant moi ? Pourquoi avaient-ils tous peur de moi ? Moi, qui était armé d'un stylo à bille en or «Cross».
 
Un policier à parlé, il était vêtu d'une chemise blanche : «Il y a un lit, tu vas t'y coucher !» Pourquoi me disais-je à l'intérieur de moi ? C'est alors que je pris la parole pour leur dire, afin qu'ils comprennent tous : «Je n'ai pas à me coucher sur ce lit moi. Je ne suis pas agressif du tout, mes pieds me font souffrir et le médecin ne veut pas me guérir. C'est pour cela que vous êtes ici.» C'est alors que le même policier à la chemise blanche me dit : «Veux-tu qu'on utilise la force !» Et cela il le fait d'un ton très gonflé. Hors, moi qui n'ai pas à me coucher dans ce lit, je me gonfle le torse devant eux et répète encore la même chose devant eux.
 
Ensuite, un policier vêtu d'une chemise bleu pourvu de bras 2 fois plus gros que les miens, place l'intérieur de sa main gauche sur mon bras droit pour me déplacer vers le lit. L'essai devient un échec car je n'ai pas bougé de 1/1000e de mm, c'est comme si ce dernier avait tenté la même chose avec une statut de 2 tonnes. C'est à ce moment là que je découvre que DIEU est plus fort que la police, expression très connu. C'est pour cette raison d'ailleurs que je me concentre à décrire cet événement historique comme celle de cet ex-chauffeur de taxi l'honorable Richard Barnabé. Le but de mon exercice est de construire plutôt que de détruire afin d'éviter d'autres événements semblable.
 
Je vous rappelle que le 18 juillet 1995, M. Richard Barnabé était couché dans un lit d'hôpital attaché à plusieurs appareils qui le conservait en vie dans un état neurovégétatif à ce moment là. C'est en pensant à lui, au moment de vivre cette situation que je leurs ai dis en gesticulant, sans agressivité et tout en pointant le lit : «OK ! OK ! J'ai compris, c'est là qu'il faut que je me couche, hein ! C'est là qu'il faut que je me couche, hein !» C'est alors que trois policiers ont tiré chacun de leur côté une partie de mon veston pour tenter que les coutures brisent. «Non ! Non ! Je vais me déshabiller tout seul» et on me laissa faire. À ma demande, je peux garder mon sous-vêtement (voir slip ou bobette). Puis, en les regardant dans les yeux un à un car je suis au centre et en pivotant sur moi-même devant eux, je leurs dit : «Regardez bien cela vous autres.» Je me prépare à sauter dans ce lit d'hôpital sans toucher à celui-ci de mes mains, soit directement sur le matelas. Qui plus est, le derrière de ma tête, mon fessier et mes chevilles ont touché le matelas au même moment. C'est alors qu'ils ont dit: «Hou ! Avez-vous vu cela, vous autres !» Pourquoi m'ont-ils attachés sévèrement avec ces lanières de cuir qu'on se sert pour contentionner des humains au potentiel de dangerosité pour la société ou pour eux-mêmes ? Car moi, en aucun temps même dans le dossier CHUS 398 068, je n'ai pensé devenir dangereux ni pour moi ni pour les autres i.e. en aucun temps j'ai pensé me suicider ou blesser quelqu'un qui a été très malade à mon endroit. Tout cela parce que je pensais qu'ici au Québec dans le Canada, je croyais légitime mon droit à mes croyances religieuses. Pourquoi ensuite un infirmier et une infirmière m'ont introduit une substance incolore et inconnu par moi, mais connu par eux ? Qu'est-ce qu' il y avait dans ces seringues, dont on m'introduit la médecine intramusculaire ? Puis c'est alors qu'un policier dit : «DIEU vient sauver ton fils maintenant.» Tandis qu'un autre vient me rire en pleine face en me disant : «Demande à ton petit Jésus de venir te sauver maintenant.» Puis un rire fut généralisé par une équipe médicale et policière à Verdun en ce 18 juillet 1995. Pendant que nos gouvernements se penchent afin de trouver les moyens de sauver des sous. La seule chose qui me préoccupe depuis le début, c'est de construire une province ainsi qu'un pays meilleur car souvent le prix à payer ce sont des victimes innocentes. Moi, Serge Bourassa-Lacombe alias Victor DeLamarre II 388 jours d'exils aux États-Unis Martin Luther King Jr Le Blanc Tout Était Parfait Avec Le Noir Nothing Was Wrong With The Black.
 
Aujourd'hui, en ce 19 mars 1997 anniversaire de Joseph le père de Jésus. Je vis pour le bien de tous en ce 679 jours de vie sans revenu causé par cette injustice sociale, victime d'acte criminel causé par méfait public, erreur judiciaire et faux rapport médical 398 068, bilan décrit à l'arrière de ma carte d'affaire. Je continu dans ma foi, la Foi en DIEU le Père TOUT-PUISSANT, Créateur du ciel et de la terre qui a envoyé son Fils Jésus sur la terre afin de nous sauver de nos péchés et qui nous nourris de son Esprit afin que l'on obtienne la lumière suffisante pour nous maintenir dans la Volonté du Tout-puissant, NOTRE-PÈRE. La Sainte Trinité, moi j'y crois en cette Foi qui peut soulever des montagnes. D'ailleurs Benjamin Franklin avait dit : «La plume est plus forte que l'épée.» Et a obtenu l'indépendance des États-Unis. Tandis que le poète Lafontaine croyait que : «Patience et longueur de temps valent mieux que force et que rage.» Tandis que moi je vous dis que : «La puissance de croire en DIEU et notre prière, c'est plus puissant que n'importe quoi. Lorsqu'IL décide rien peu si opposer.»

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SIGNÉ LE 19 MARS 1997 16:05 À Ste-Foy Serge Bourassa-Lacombe
Victor DeLamarre II & Martin Luther King Jr Le Blanc
Tout Était Parfait Avec Le Noir

Voilà toutes leurs procédures pour ce dossier 97/02/27 !
 
 
 

Sans réponse de leur part depuis le 190597 concernant ce dossier

Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 22:13 Revelation I am Alpha and Omega, the beginning and the end, the first and the last.
La déontologie Policière Au Québec
Commissaires et comités
Me Denis Racicot, Me Gilles Mignault,  Me Louise Marcotte
Me Yves-Albert Paquette, Me Yves Renaud
Marie-Anne Ouellet
La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété
et toute injustice des hommes
qui retiennent injustement la vérité captive
car ce qu'on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux,
Dieu le leur ayant fait connaître.
Romains 1:18-19 (Version Louis second)
Le poisson symbole de reconnaissance et de communication chrétienne. - The fish symbol of recognition and communication Christian.