- NATURE DE LA PLAINTE
- Résumez l'incident et expliquez vos reproches. Si vous reprochez aux
policiers(ères) ou constables spéciaux des propos injurieux, obscènes,
blasphématoires, discriminatoires ou irrespectueux, veuillez s.v.p. rapporter les mots
employés aussi exactement que possible.
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- Le 22 juillet 1995 à 03:46 et 05:02, je me rends chez L/S A.
Desautels enr., 4141, boul. Lasalle, Verdun pour y acheter de la glace
(veuillez vous
référer à la page 56 d'une lettre que j'ai certifiée par Poste Canada, St-John,
Nouveau-Brunswick le 03 novembre 1995 soit trois jours avant de m'exiler aux
États-Unis).
Je m'y suis maintenu en excellente santé, sans revenu, ni criminalité, ceci étant
vérifiable auprès du FBI.
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- À partir du 25 juillet 1995, je communique avec plusieurs média
tant visuel qu'auditif, en autre la station CKVL 850 AM.
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- Le 30 juillet 1995 04:08, j'appelle CKVL au 790-0851. Il n'y a
pas de réponse, sans aucun doute l'émission radiophonique que j'écoute est une reprise.
La même journée, je répète l'exercice à 07:12, un homme réponds, je lui démontre
mon intérêt pour m'exprimer en onde sur l'invitation de cette émission de médecine
douce, c'est alors que la ligne se coupe. Je rappelle et convaincs l'homme de me mettre en
attente en lui disant : «Cela fait déjà une semaine que je persiste à vouloir
m'exprimer en onde et que si on ne m'en donne pas la chance aujourd'hui, je déposerai une
plainte au C.R.T.C.» Cet homme me demande si cela est une menace de mort? Je lui demande
s'il a déjà été menacé de mort? Et lui dis que moi la médecine traditionnelle me
menace de mort depuis le 11 février 1995 et qu'elle a tenté de me tuer à plusieurs
reprise alors c'est pour cette raison que je tiens à rendre témoignage à cette
émission de médecine douce qui dénonce ces mauvaises pratiques
médicales.
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- Lors de cette attente au téléphone. La police poste #22 arrive
au 24, rue Gordon, Verdun vers 07:30. Mon père va répondre à la porte. Il fait entrer
ces deux policiers qui se dirige vers moi dans la cuisine. Un policier, le plus vieux des
deux me dit que le réceptionniste de CKVL a appelé pour leur dire que je lui ai
proféré des menaces de mort au téléphone. Ma réaction fut spontanée devant mon père
et ces deux policiers, moi qui resta assis sur ma chaise, vêtu d'une robe de chambre en
leur disant : «Cet homme a menti.» Le même policier me dit alors : «On a enregistré
ta conversation.» Je leurs réponds : «Allez me la chercher cette conversation car cet
homme a menti.» Les deux policiers sont partis sans jamais revenir. Que s'est-il passé
en dessous de la table ?