Lennoxville, le 5 octobre 1997

A QUI DE DROIT,

Moi, Eric Nutbrown, déclare que j'ai rencontré Serge Bourassa-Lacombe au printemps 1991. Je le connais assez bien maintenant et je le connaissais avant qu'il soit envoyé dans l'aile psychiatrique au CHUS. Pour être honnête avec vous, sa spiritualité a changé. Même avant ce temps, il était un donneur d'amour pur. Je me souviens de lui comme un grand humaniste, un homme qui se soucie tellement des autres, même quand il était un chrétien pêcheur. Je me rappelle que je le visitait à tout les dimanches durant son hospitalisation CHUS. La première fois que je l'ai vu au 4B, j'ai eu peur de la manière qu'il se comportait devant moi, comme un zombie. J'étais très surpris de voir mon ami dans cet état. Le 11 mars, avec son père et des amis, nous déménagions ses meubles et ses vêtements, ses comportements étaient bizarres, causés par les médicaments, ce samedi après m'avait très fatigué. Lors de ma cinquième visite, Serge m'a surpris encore, lorsqu'il m'a annoncé qu'il avait commencé une grève depuis le 14 mars contre le fait de prendre des médicaments. J'avais peur de sa décision à cause de mon manque de connaissance. Je me rappelle qu'il s'était convaincu lui-même de laisser sa barbe s'allonger durant cette grève. Lorsque, je l'ai visité le 2 avril, il se comportait comme un homme miraculé avec sa balle de ping-pong. Le 11 avril, j'ai décidé de le recevoir chez moi pour la nuit durant 24 heures, car il était comme avant.

À l'été 1993, nous sommes allés en vacance ensemble à Québec. Je me rappellerai toujours comment il m'avait convaincu de partir en vacance pour un (no where). Cela m'a permis de découvrir qui il était réellement. Premièrement, comme nous arrivions à Québec, je brisa la seul clef de porte de ma Camaro 1984 à arrière ouvrant. Je pensais que ma première vrai vacance était un désastre, par chance, mon ami Serge était capable de me convaincre de ne pas abandonner mes vacances. Il était toujours capable de prendre la bonne décision et a décidé que nous devrions aller vers Chicoutimi. Le problème était de conduire avec une voiture pleinement rempli de matériel de camping. Comment pouvions nous être en sécurité avec des portières d'auto non verrouillage. Forcé d'admettre que mon automobile n'était pas neuve. Juste avant le parc Laurentien, le radiateur de chaufferette était perforé et coulait sur mes pieds car Serge était le conducteur, qui plus est, il possédait une connaissance formidable, comme un génie point. Nous sommes revenus durant la nuit parce que le liquide de refroidissement coulait et Serge a recommandé cela pour sauver le moteur.

La semaine suivante, Serge a réparé tous ce qui était brisé sur ma voiture et il m'a surpris encore. Par chance qu'il m'avait recommandé d'avoir mon frein à main réparé, après m'avoir averti de du besoin urgent qu'il soit bien réparé. L'année suivante, conduisant mon automobile descendant la côte sur Belvédère. Remarquant que je n'ai pas de frein. Je deviens frappé de panique. Merci DIEU, Serge était assis sur le siège du passager et à pris le frein à main à temps pour prévenir un accident d'auto, au coin d'une intersection majeur (Galt & Belvédère).

Eric Nutbrown
103, Oxford Crescent street apt.105,
Lennoxville (Québec), J1M 2G3