L'HEURE FRANCOPHONE

Avec Jean-Pierre Fournier

&

Serge Bourassa-Lacombe «=» Jacques Cartier II !...

11 SEPTEMBRE 2004 de 12:00 à 13:00

Jean-Pierre Fournier : Hé bien l'Heure Francophone est heureuse de vous faire découvrir des francophones qui font des choses passionnantes à Victoria. Et dans le cadre des Beaux Jeudi du dernier Beau Jeudi à Victoria, j'ai rencontré un gentil monsieur qui s'appelle Serge Bourassa-Lacombe un grand voyageur du monde qui c’est promené un peu partout, mais en arrière de ça il y a une cause. Hé bien Serge Bourassa-Lacombe bienvenue à l’Heure Franco.

Jacques Cartier II : Mais, merci beaucoup Jean-Pierre.

Jean-Pierre Fournier : Hé bien, pour les gens, pour les francophones de Victoria, Metro, Nanaimo, Duncan et on se rend jusqu’à Comox grâce à Internet. Même les gens dans le monde peuvent nous écouter. Tu peux, Tu peux tu, nous parler un peu, nous parler un peu de toi, de quel coin de pays tu Viens? Une brève biographie de ta personne tiens en deux ou trois minutes. C’est quelque chose toute raconter sa vie en deux ou trois minutes.

Jacques Cartier II : Certainement Jean-Pierre, moi, je peux vous dire que je suis né à Verdun le 20 juin 1957 à 9h12. Je suis un Canadien français pure laine et puis j’ai grandi à Montréal, au Québec et j’étais commis voyageur dans le domaine de l’automobile pour gagner ma vie. Je gagnais très bien ma vie, j’avais en ’90 : un Chevrolet Caprice, un compte de dépense, quarante miles dollars (40 000 $) de salaire annuel. J’aimais mon travail, un travail que j’ai perdu. Et puis en ’95, j’ai découvert pourquoi j’avais perdu mon travail en ’90. C’est qu’il y avait un homme qui avait la même identité judiciaire que la mienne, c’est-à-dire le même prénom Serge et le même nom de famille, la même date de naissance 20 juin 1957, la même grandeur, la même taille et cet homme était recherché pour des viols en série alors son casier judiciaire a causé chez moi un préjudice très lourd. par ce qu’en ’90, j’ai perdu mon travail, une maison que j’étais entrain de payer et puis une femme que j’aimais beaucoup depuis trois ans et là je me suis trouvé à recommencer une vie à zéro.

Jean-Pierre Fournier : Ouais, c’est, c’est pas mal terrible ce que tu dis là. Il y a plusieurs cas au Canada t’es pas le seul, qui, autrement dit il y a quelqu’un qui n’a pas fait son travail correctement dans la vérification des choses et de l’identité.

Jacques Cartier II : En fait ce qui m’est arrivé, ça l’a arrivé aussi à un journaliste de Journal de Montréal, Marco Fortier qui en 2001 a été privé d’un voyage à New York par ce qu’il avait la même identité que lui, la même date de naissance et tout, et qui avait un casier criminel. Marco Fortier était un journaliste qui était connu par les politiciens par ce qu,il faisait du journaliste politique et puis moi. Je n’ai pas été privé d’un avion, c’est que le 11 février 1995 j’ai été conduis au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke, où est-ce que j’ai été traité pour des maladies mentales que je n’ai jamais eu, que je n’ai pas et que je n’aurai pas non plus. Et puis, j’ai été cinquante sept (57) jours à l’hôpital. J’ai été torturé avec des produits très fort pour le cerveau, ils m’en ont administré des quantités. On me donnait du LITHIUM, HALDOL, RIVOTRIL, DALMANE, COGENTIN, ATIVAN. Toutes ces drogues là ne vont pas ensemble et c’était suffisant pour tuer un cheval. Et le 13 mars ’95, mon cœur c’est mis à batte 3 à 4 battements à la minute à cause de cette accumulation de drogues. J’ai vraiment eu peur de mourir.

Aujourd’hui, je peux vous dire que je n’ai pas été torturé jusqu’à la mort mais j’ai été torturé presque jusqu’à la mort.

Jean-Pierre Fournier : Hé bien, vivre notre système de santé. C’est quand même assez terrible ce que tu nous raconte là. On est supposé d’être une société moderne. Hé, mais tu t’es tu ramassé en prison pour ça? Té tu aller faire un temps à cause qui t’on pris pour un autre, ça c’est une vie assez amoché. Merci Hein !

Jacques Cartier II : Disons que quant j’ai été libéré de l’hôpital, j’ai à ce moment là vécu, j’étais sans salaire, sans aide sociale et mes pieds ont usés prématurément. Et le 18 juillet 1995, j’ai été demander de l’aide médical dans cinq cliniques, un CLSC pour finalement venir à l’hôpital de Verdun auquel j’ai été entouré par huit (8) policiers armés par ce que l’urgentologue, le Dr Laurent Boisvert refusait de me traiter les pieds. Moi qui avait les pieds malade, préférant la tête alors que j’avais mal au pieds. Hé là, j’ai été, j’ai été couché & attaché dans un lit et sur dosé d’un, de deux méga doses d’antibiotique pour détruire ma flore intestinal et ça j’ai survécu à cette épreuve là aussi. Or par la suite ce que j’ai eu en tête c’est de prendre mon vélo et de rouler jusqu’en FLORIDE. Et en FLORIDE en ’95 je suis arrivé le 22 novembre et j’ai roulé mon vélo pendant huit (8) mois, cinq milles 5 000 miles de vélo en FLORIDE, sans compte de banque, sans revenu et sans aide sociale et DIEU a fourni à mes besoins tout au long de mon voyage. J’ai même eu l’occasion de rencontrer un chien sans abris et abandonné de ces maîtres, on n’a fait du vélo deux (2) mois et demi ensemble, on c’est retrouvé à ATLANTA lors des jeux olympiques et ça avait été publié par TV5 et DAVID LETTERMAN cet animateur de NEW YORK. Et j’ai passé à l’histoire à ce moment là, j’ai fait le tour du monde par la magie de la télévision.

Et là je suis entrain de faire le tour de VICTORIA avec la radio communautaire, je te remercie beaucoup JEAN-PIERRE par ce que ma cause est légitime et puis elle me tiens à cœur. Et j’y travaille beaucoup depuis neuf (9) ans et au mois de juin, le 21 juin, j’ai déposé une plainte au Collège des Médecins du Québec contre 15 médecins psychiatres, 8 médecins, 3 centres hospitaliers, un ambulancier et une ambulancière. Ces gens là m’ont demandé d’aller en appel, ça fait que je suis allé en appel et pendant que j’était entrain de faire ces démarches j’ai été enlevé deux (2) fois au QUÉBEC au mois de juillet. Une fois par le DR WILLIAM SEMAAN de SHERBROOKE attaché au «CHUS – HÔTE-DIEU» le 8 juillet et une fois par le DR MARIO ROY attaché à l’HÔPITAL DOUGLAS le 14 juillet alors que ce n’était pas requis. J’ai été détenu à l’HÔPITAL DOUGLAS pendant sept (7) jours et puis j’ai subi encore des tortures, on m’a administré des drogues qui m’ont amenés dans de l’anxiété et des pensées suicidaires et/ou homicidaires et ça allait contre ma volonté par ce que j’ai le FEU ARDENT de NE PAS ME SUICIDER ET DE NE PAS TUER par ce que c’est le FEU du SAINT-ESPRIT qui m’HABITE dans MON CŒUR par ce QUE JE CROIS EN DIEU LE PÈRE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS LE CHRIST CELUI QUI EST VENU SUR LA TERRE MOURIR SUR LA CROIX AFIN QU’ON SOIT LIBÉRÉ DU PÉCHÉ ET J’AI BEAUCOUP DE COMPASSION POUR CES GENS LÀ QUI M’ONT FAIT DU MAL ET JE LEUR PARDONNE ET JE N’OUBLIERAI JAMAIS CE QU’IL M’ONT FAIT PUIS JE VAIS ALLER JUSQU’AU BOUT POUR QUE CES GENS LÀ PUISSE ÊTRE AMENÉ À LA REPENTANCE par ce QUE C’EST LA SEUL FAÇON POUR EUX D’OBTENIR L’ESPOIR D’UNE VIE ÉTERNEL.

Jean-Pierre Fournier : Oui mais, c’est quand même toute une mission que de se battre contre des médecins qui font deux cent milles (200 00) $ et +. Et toi, t’a pas de salaire présentement. Là t’a décider de partir ta fondation, peux-tu nous en parler un peu, c’est l’origine de tout ça et puis t’es allé déjà à l’heure actuel, t’a fait et t’a roulé avec ta bicyclette et puis ton pitou quoi que les humains ont plus malheureusement on voit ce qui se passe dans le monde avec les différents contexte géo politique comme l’AFRIQUE et en IRAK c’est assez fort là, on est au CANADA. Les enlèvements là c’est pas par les gens de l’ALKAIDA c’est par du monde dans une société dite démocratique et civilisée.

Jacques Cartier II : Oui, et puis ce qui arrive, c’est que, moi ce que je trouve, ce que je trouve c’est que ici ce qu’on fait vivre c’est pire que ce qui se passe en IRAK par ce que c’est fait en cachette. On cache ces affaires là, les médecins ils ne se vantent pas de cela quand ils utilisent la force policière par abus de pouvoir. Ils ne se vantent pas de ça ! Quand qu’un médecin va administrer un sédatif à sa patiente pour la violer dans son cabinet il n’écrit pas ça dans son rapport médical de la patiente, comprenez vous. Et tout ce qu’ils m’ont faite, on m’a caché ça dans des rapports médicaux qu’aujourd’hui j’ai le pouvoir de vous dire que vous pouvez venir voir ça sur mon site Internet.

Maintenant pour ce qui est de la FONDATION SERGE BOURASSA-LACOMBE, c’est pas moi qui a créé cette fondation là. C’est DIEU lui même qui a créé cela le 12 février 1995 pour nous. Tout d’abord c’était pour dénoncer la «MAFIA MÉDICALE» et VAINCRE ses [s e s] MALADIES MENTALES afin de CONSTRUIRE un PAYS MEILLEUR ! Et après neuf (9) ans d’enquête, et les plaintes ont été dûment écrites et déposées par moi.  Et bien depuis le 14 juillet 2004, je suis devenu le seul & unique médecin spécialiste pour guérir la santé, pour guérir le système de santé que nous avons. Le Premier ministre du Canada, PAUL EDWARD PHILIPPE MARTIN est au courant de mes projets, le Premier Ministre du QUÉBEC JEAN CHAREST est au courant aussi. Ces gens là on accès à mon site Internet, c’est gratuit, c’est public. L’adresse porte mon nom c’est www.bourassa-lacombe.org, j’ai investi plus de dix miles (10 000) heures d’ouvrages sur mon site Internet pour être compris de la société. Il est écrit en français, il est écrit en anglais, il y a quelques pages qui sont écrit en espagnol.

Jean-Pierre Fournier : Bon, moi je vais de poser une question, je sais que tu vas me répondre. À ce dire bon un autre hurluberlu. Qu’est que tu réponds à ça ?

Jacques Cartier II : Oui, on me dit ça parfois, on me trouve peut-être hurluberlu ou peut-être illuminé. Mais moi ce qui arrive ma FOI était en CHRIST quand tout ça, ça m’est arrivé. C’est à travers l’épreuve qu’on grandit et ma FOI est augmenté au CENTUPLE et je réalise une chose JEAN-PIERRE, c’est que depuis ’95 DIEU m’utilise comme une outil de GUÉRISON. Je ne suis pas celui qui guérit, c’est que DIEU passe par moi pour amener la GUÉRISON PHYSIQUE, MENTALE ET SPIRITUELLE sur des gens qu’IL met sur ma route. Et pour toucher ses gens là, pour emmener ces gens là, par ce que DIEU, IL nous aime tous, IL veut tous notre SALUT. IL utilise des gens comme moi, je ne suis pas  le seul, il y en a d’autre. Mais moi, je me réjouit de voir que malgré, tu sais la PERSÉCUTION, puis les MENACES et les TORTURES, DIEU réussi quand même à m’utiliser pour le bien d’autrui.

Jean-Pierre Fournier : Ouais, ça c’est juste hein ! Quant que tu fais pas de mal à personne, mais malheureusement dans l’adversité de notre vie. Il y en a qui on les esprit «S» tordues et la façon d’interpréter les choses où juste sur, on est supposé de s’améliorer on est supposé d’avoir des gens plus instruits, mais je pense qu’on dérape pas mal fort dans certain cas. En tout cas, je suis peut-être à côté de la trac. On peut être illuminé ensemble.

Jacques Cartier II : Mais disons JEAN-PIERRE que t’es pas trop au côté de la trac. Écoute, écoute  ça fait neuf (9) ans que je roule ma bosse, ça fait neuf (9) ans que j’écris les mêmes choses, mon idée change pas. Vois-tu le diagnostic qui m’ont trouvé en ’95 suite au croisement d’identité entre deux personnes. Ils m’ont trouvé bipolaire, maniaco-dépressif, c’est facile de dire ça. Moi, je ne suis pas bipolaire je suis polaire depuis mon enfance, et ça c’est suite à l’âge de mes six (6) ans, c’est pas tout le monde qui sait ça. J’ai tombé d’un puit à cabane à sucre de mon grand-père, le père de ma mère pousser par un de mes cousins germains qui avait quatre (4) ans et demi la tête première. Je me suis trouvé dans un puit, dans un eau glacial. J’ai réussi à me retourner de bord et j’ai prier, j’ai dit : «SEIGNEUR DIEU SORT MOI D’ICI JE NE VEUX PAS MOURIR AUJOURD’HUI, J’AI Y INK SIX (6) ANS». Et puis là, je suis un «MIRACULÉ DES EAUX»

Et c’est à partir de ce moment là que je suis devenu POLAIRE, MANIAC. Mais je ne suis pas un maniac-dépressif, je suis un maniac, un polaire en haut de la courbe. Et là, il m’ont trouvé aussi comme diagnostic paranoïaque, je ne suis pas un paranoïaque par ce que je suis capable de me rendre partout sans crainte. On m’a trouvé aussi schizophrénique, je ne suis pas schizophrénique par ce que j’habite et je vie dans votre monde avec vous autres, j’écrit dans votre monde avec vous autres. Mes pensées sont réelles. On m’a trouvé aussi narcissique, chose que je ne suis pas. Et puis on m’a trouvé aussi atteint de délire mystique religieux alors que ma vie est basée sur les SAINTES ÉCRITURES. Aussi on m’a trouvé potentiel de dangerosité de tueur en série par ce que le passé criminel de l’homme qu’on cherchait c’est un violeur en série. Alors un violeur en série peut devenir un tueur en série éventuellement. Or ça c’est toute, ça été écrit dans un rapport médical qu’on m’a caché pendant trente quatre (34) mois. Les policiers quant qu’ils ont réalisé leur erreur de croisement d’identité, ils ont détruit le rapport de police. Heureusement que dans le dossier médical il est écrit : «PATIENT ACCOMPAGNÉ DE DEUX (2) POLICIERS» Or, voyez vous les évidences je les ai, les plaintes ont peut les lire sur mon site Internet. J’écris depuis 1995, plusieurs lettres, en ’95, en ’96 et ainsi de suite, jusqu’en 2003, 2004 et en 2005 j’écrirai encore. Maintenant, le 11 septembre 2004, je dois être au GROUND ZERO à NEW YORK.

Jean-Pierre Fournier : POURQUOI ?

Jacques Cartier II : C’est que, ça va être le 9e anniversaire de «JACQUES CARTIER II» Et ça  «JACQUES CARTIER II» c’est un surnom que les MONTAGNAIS de NATASHQUAN m’ont donné le 11 septembre 1995 par ce que j’avais fait de grande découverte dans mon pays. Alors ça va être d’en le cadre du 9e anniversaire de «JACQUES CARTIER II» Je devrais être au GROUND ZERO pour prier et pour louer le SEIGNEUR et j’aimerais aussi dédicacé des, beaucoup de bible en français, en anglais et en espagnol. J’aimerais les distribués à partir du GROUND ZERO par ce que les SAINTES ÉCRITURES nous amènent dans ce qui se passe actuellement dans le monde. Et ça c’est toute des choses qui ont été annoncé d’avance et ça ma vie est basé sur la parole de DIEU qui est véritable et éternelle.

Jean-Pierre Fournier : Et bien, si les  gens sont intéressé à en savoir plus, c’est toute une aventure. Ça se passe au CANADA croyez le ou pas. Les septiques seront confondus comme le disait quand on était jeune le Capitaine Bonhomme.

Jacques Cartier II : Bien oui ! Et mon père quand j’étais jeune il me disait la police, pas la police mais DIEU est plus fort que la police. Et ça, ça m’aide à continuer ma route par ce que quand je rentre dans un poste de police j’ai pas peur, par ce que je rentre avec DIEU dans mon cœur et SON FILS JÉSUS.

Jean-Pierre Fournier : OK ! Tu peux donné ton site Internet, les  détails si les gens de la toile Internet si les gens veulent allez voir ça. Et puis voilà !

Jacques Cartier II : C’est www.bourassa-lacombe.org et si vous faite un recherche avec l’outil GOOGLE que tout le monde connais sur l’Internet. Vous faite une recherche sur «DIPLÔME DU CIEL» et vous pourrez voir le «DIPLÔME» que j’ai reçu du ciel le 14 juillet 2004 qui fait de moi le seul et unique docteur pour GUÉRIR LA SANTÉ c’est-à-dire le «SYSTÈME DE SANTÉ» Car «JACQUES CARTIER II» c’est le SEUL & UNIQUE FOU du ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs. Et un fou qui sait qu’il est fou est bien moins fou que celui qui ne sait pas qu’il est fou.

Jean-Pierre Fournier : Et bien merci d’avoir participer à «L’HEURE FRANCO» et on va introduire une pièce musicale qui est conscientisateur et on va retourner en souvenir avec une chanson choisi par notre invité voici «TOUJOURS VIVANT» de GERRY BOULET

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Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe
Alias : Victor DeLamarre II et Martin Luther King Jr Le Blanc Tout Était Parfait Avec Le Noir
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