À qui de droit,
Lundi, le 18 septembre 2000 de 10h08 à
10h35, j'ai rencontré le constable Michel Martin, Agent aux affaires publiques
du Service de Police de la Région Sherbrookoise (SPRS) pour donner suite
à la lettre ''Ça fait cinq ans et demi que cela traîne!'' que j'adressais au
Premier ministre du Québec le 24 août 2000, copie conforme à 50
personnes incluant monsieur Michel Carpentier, Directeur du SPRS.
www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/24082000_0834.htm
J'ai profité d'une lettre que j'ai reçu le
15 septembre 2000 de madame Nadia Bergeron attaché politique de l'honorable
Bernard Landry. qui dit ceci :
''Monsieur Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe,
Au nom du vice-premier ministre et ministre d'État à l'Économie et aux
Finances, monsieur Bernard Landry, j'accuse réception de la correspondance
adressée au premier ministre, monsieur Lucien Bouchard, que vous lui avez
fait parvenir en copie conforme le 24 août dernier, concernant votre lutte
contre ce que vous appelez la "mafia médicale".
Soyez assuré que vos commentaires seront portés à l'attention du ministre
dans les plus brefs délais.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments les meilleurs.''
www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/24082000_0834.htm
''ON NE SOIGNE PAS UN CANCER AVEC UNE
ASPIRINE !'' Michel Carpentier, Directeur Service de Police de la Région
Sherbrookoise (SPRS) - La Tribune de Sherbrooke, samedi le 16 septembre
2000 page couverture.
''Ça commence à faire dur. On assiste à
une montée de violence qui requiert une intervention. Il faut intervenir pour
faire régner l'ordre, les droits des individus, la liberté d'expression et... le droit à la vie'' Très Honorable Lucien Bouchard premier
ministre du Québec, Journal de Montréal, vendredi 15 septembre 2000, page 9.
J'ai cité le tout au constable Martin
lui faisant part que j'étais entièrement en accord avec les propos tenu par son
directeur et de l'importance de la réaction de Monsieur Bouchard. Pour
conclure cet entretien, j'ai dis au constable Martin que le temps était
peut-être venu au Service de Police de la Région Sherbrookoise (SPRS) de
faire un MEA CULPA en portant toute mon histoire à l'attention
du substitut du procureur général, finalement et après plusieurs tentative,
afin de construire un pays meilleur !
C'est alors que le constable Martin est allé
s'entretenir avec le constable Michel Gagné et lui demanda d'écrire la dite
plainte. Monsieur Gagné m'a interrogé de 11h00 à 11h09 et me demanda mon
permis de conduire pour fin d'enquête. Il me revient à 11h19, je dépose
alors la lettre du 24 août 2000 ainsi que la réponse obtenu le 15 septembre
2000 lui notifiant que cela devra faire parti de ma plainte. Il repart avec le
tout pour me revenir à 11h40 c'est alors que l'affaire est pris au sérieux,
il rédige donc ma plainte que j'ai dûment signé entre 12h12 et 12h18. Je
tiens a définir la portée de ces accusations en référence au Code Criminel
du Pays : séquestration illégal pendant 57 jours, méfaits publics,
fabrication de faux, usage de faux, voies de faits, harcèlements criminels,
torture physique et mentale, torture chimique (Lithium, Haldol, Rivotril,
Dalmane, Ativan, Cogentin, Mellaril et Stelazine), tentative de meurtre par
surdosage de drogues légales, complot et persécution forçant un exil.