MIRACLE À JONHVILLE (QUÉBEC) CANADA LE 5 AOÛT 2003 !

Je me nomme Gilles Boutin Vice-président de la Fondation Serge Bourassa-Lacombe. Je sais qu'il y a des gens qui ne voudront pas parler, ni entendre parler, pas plus que de voir de face cette vérité qui est mon témoignage à l'endroit de monsieur Serge Bourassa-Lacombe...

Je soussigné Gilles Boutin, surnommé «Défenseur de Vérité», demeurant au 143 route 251, Johnville (Québec) Canada J0B 2A0 Téléphone : (819) 837-0596 je vous demande de considérer ce témoignage comme étant un AFFIDAVIT. Je me souviens de la soirée du 15 avril 2003 il était 21h20 quand je fus mis sous arrestation par deux officiers police de la Sûreté du Québec soit Alain Veilleux matricule 8487 et Miguel Morisette matricule 9868, ils se sont introduit dans ma résidence sans frapper, sans ma permission, sans mandat d'arrestation, J'étais endormi dans ma chambre à coucher quand sont entrée chez-moi en appelant mon nom, malgré le fait que je voulais savoir la raison de leur présence, ils m'ont dit que je devais les suivre au poste de police car ils avaient à me parler. Je fus transporté à l'urgence du département de santé mentale (psychiatrie) de l'Hôpital «CHUS - Hôtel-Dieu» de Sherbrooke (Québec) Canada, et plus tard transféré au 8e étage de l'aile psychiatrique de la même hôpital, où il me fut annoncé que j'aurais proféré des  menaces de mort, cependant le plaignant ou la plaignante était anonyme. Cependant je n'avais fait de menace de mort à personne parce que j'étais seul dans ma résidence à ce moment là. Je me souviens d'avoir été victime de phénomènes paranormaux mystiques le 13 avril 2003 vers 03h30 du matin, comme j'intégrais mon domicile je perçus un odeur terrible, insoutenable, comme des corps brûlants ou encore en putréfaction. L'odeur était répandu dans toutes les pièces de ma résidence. Ce qui m'amena dans un état, comparable en parallèle à une NEAR DEATH EXPERIENCE (N.D.E.) «AU PORTE DE LA MORT» ce qui me porta à crier, «MORT AU DIABLE», à ce moment là j'avais consommé de l'alcool. Je consommais de l'alcool depuis une semaine environ ce qui coïncidait avec la disparition de ma co-locataire qui était suicidaire entre le 6 et le 12 avril 2003. Je consomme de l'alcool depuis l'âge de 14 ans.

Le 16 avril 2003 alors que j'étais accompagné par les intervenants au 8e étage, je fus accueilli par monsieur Serge Bourassa-Lacombe Président de la fondation du même nom en nous serrant la main je lui dit que j'étais alcoolique et que je n'appartenais pas au département psychiatrique. Pendant que nous nous tenions la main monsieur Serge Bourassa-Lacombe mis sa main gauche sur mon épaule et pria JÉSUS LE CHRIST de NAZARETH d'intercéder auprès de DIEU NOTRE-PÈRE afin qu'il, l'ESPRIT-SAINT vienne me délivré de l'emprise de l'alcool par SA TOUTE PUISSANCE, pour la GLOIRE de DIEU et le SALUT du MONDE. Ainsi Soit Il !»

Serge Bourassa-Lacombe et moi avons passé (21) jours ensemble en prière glorifiant et louant DIEU, durant ces (21) jours Serge Bourassa-Lacombe et moi, nous nous sommes raconté nos vies. J'ai appris comment cet homme avait été persécuté depuis 1995 à cause d'une erreur policière par un croisement d'identité avec un violeur en série portant le même nom et la même date de naissance que lui. Il était prêt à investir la totalité de son chèque d'aide sociale pour acheter un ordinateur portatif afin d'y collectionner tout les documents relatifs à cette affaire afin de défendre sa cause et d'organiser sa poursuite, et de plus, amener le plus de gens au SEIGNEUR JÉSUS LE CHRIST par le Simple Plan de Salut de DIEU. Je compris que monsieur Serge Bourassa-Lacombe était un homme de grande FOI et CONVICTION, autant qu'une personne honnête au franc parlé très impliqué dans la Fondation Serge Bourassa-Lacombe, depuis 1995. Un événement historique se produisit à  l'Hôpital «CHUS - Hôtel-Dieu» de Sherbrooke j'acceptas de fournir la somme de (1 700 $) qui représentait la somme manquante pour qu'il se procure un ordinateur portatif de qualité afin qu'il puisse atteindre ses buts.

Durant cette période pendant que nous étions tous deux détenus, je fus témoin de la mal pratique des psychiatres se servant du système légal de Justice du Québec par Ordonnances de Cour, ils ont sciemment obligé monsieur Serge Bourassa-Lacombe à consommer en surdosage de médication contre son gré et j'ai vu monsieur Serge Bourassa-Lacombe au prise avec de graves effets secondaires comme des tremblements et manque d'équilibre. Je suis convaincu que les quantités de drogues légales qu'a du prendre monsieur Serge Bourassa-Lacombe n'ont jamais été spécifiquement ordonné par la Cour et quelles était non nécessaire volontairement imposé par méchanceté et in considération, ce qui eu pour résultat que monsieur Serge Bourassa-Lacombe rendu momentanément aveugle ne pouvant plus ouvrir les paupières fut désorienté et se blessa à l'arcade sourcilière droite ce qui nécessita quatre (4) points de suture.

Durant les mois qui suivirent par la puissance de la prière, je fus libéré de l'alcool par «MIRACLE» parce ce que je suis sobre depuis le 5 août 2003. Monsieur Serge Bourassa-Lacombe m'a demandé de bien vouloir devenir Vice-président de la Fondation Serge Bourassa-Lacombe ce que j'accepta avec joie, cette fondation travaille à guérir la santé, les maladies mentales, l'alcoolisme et la poly-toxicomanie au Québec et au Canada afin de redonner fierté et honneur aux familles Québécoises et Canadiennes. Étant témoin oculaire des traitements criminels, abusif et non nécessaire que l'on a fait subir à cet homme, je suis un témoin crédible étant abstinent en consommation d'alcool et je ne consommais aucune drogue légal ou médication.

Je profite de cette occasion bénéfique pour vous demander monsieur George W. Bush en tant que Président des États-Unis d'Amérique à accepter d'accueillir monsieur Serge Bourassa-Lacombe à titre de réfugié dans votre pays jusqu'à ce que les responsables de cette forme de terrorisme mental, «véritable axe du mal», qui génère un «génocide actif au Québec, canada affectant les états-unis d'amérique», ce qui a pour résultat  responsable du plus haut taux de suicide dans les pays industrialisés, et spécialement le Québec dans le Canada.

Je vous pris d'accepter cet homme sans passer criminel dans votre pays jusqu'à ce que nous «les défenseurs de vérité» pourront faire mettre sous arrestation les personnes responsables afin que justice soit rendue et finalement bâtir un Québec plus fort au Canada en Amérique, avec moralité et sagesse afin que les responsables viennent à la repentance, l'assurance de la vie éternelle à la fin de leur jour par le Simple Plan du Salut de DIEU.

Merci à l'avance !

Que DIEU vous bénisse !

Mr George W. Bush
President of United States of America !

Gilles Boutin

De: Gilles Boutin   D.D.V. !!! ©
«Défenseur de Vérité»
143 route 251,
Johnville (Quebec) Canada
J0B 2A0
Téléphone: (819) 837-0596

pour toutes ces raisons Moi Gilles Boutin
je vous demande Monsieur George w. bush, Président des États-unis d'amérique
Par la miséricorde de DIEU et pour la Paix dans le Monde d'accueillir
monsieur serge Bourassa-lacombe surnommé «jacques cartier ii» comme réfugié du québec !

Me Robert Lalande – Dr Pierre Migneault – Mme Sylviane Lalonde

Sherbrooke, le Mercredi 10 novembre 2004 soit la veille du Jour du Souvenir

Tribunal administratif du Québec
Me Jacques Forgues
Président intérimaire du Tribunal administratif du Québec,
575, rue Saint-Amable
Québec (Québec)
G1R 5R4
Téléphone : (418) 643-3418   
(800) 567-0278 (sans frais)
Télécopieur : (418) 643-5335

Considérant que moi Gilles Boutin salarié dans l’industrie de la construction du Québec et vice-président de la FONDATION SERGE BOURASSA-LACOMBE suis auditionné devant le TAQ afin de réparer ce qui a été brisé dans ma vie par l’alcool ainsi que des gens qui ont abusé de moi par la même occasion;

Que le Tribunal administratif du Québec a été institué par la Loi sur la justice administrative adoptée par l'Assemblée nationale, le 13 décembre 1996 et qu’il est en fonction depuis le 1er avril 1998;

Que le TAQ remplace la Commission des affaires sociales depuis le 1er avril 1998;

Que le TAQ est le lieu où le citoyen peut faire valoir ses droits à l'encontre d'une décision prise par l'Administration publique ou lorsque sa liberté est restreinte en raison de son état mental;

Que les procédures menant à une décision prise par le Tribunal doivent être conduites de manière à permettre un débat loyal, dans le respect du devoir d'agir de façon impartiale.

Qu’à cet égard, le Tribunal est maître, dans le cadre de la loi, de la conduite de l'audience et qu’il doit mener les débats avec souplesse et de façon à faire apparaître le droit et à en assurer la sanction.

Considérant que les décisions du Tribunal doivent être prises dans le respect des libertés et droits fondamentaux. La décision ne doit donc pas être fondée sur des facteurs tels la race, la couleur, le sexe, la grossesse, l’orientation sexuelle, l’état civil, l’âge, la religion, les convictions politiques, la langue, l’origine ethnique ou nationale, la condition sociale, un handicap ou l’utilisation d’un moyen pour pallier un handicap.

Me Lalande
J’expose ce qui suit :

Je vous invite à contacter les personnes inscrites en annexe, afin que vous ayez l’heure juste sur mes comportements sociaux, mon état de santé mental tant côté employé que familial depuis le 5 août 2003, date historique chiffre de la victoire car elle coïncide avec la fin de ma consommation d’alcool; étant abstinent depuis ce jour. Je peux vous assurer de témoignages positifs et crédibles de la part de mes employeurs et famille, en ce qui a trait à mes comportements au travail, côté assiduité, sérieux, productivité, humeur, enthousiasme, entregent, etc. Ces attributs sont représentatifs de la fougue et hyperactivité qui m’a toujours animé. De plus, j’aurais une importante déclaration à faire lors de l’audience devant le TRIBUNAL ADMINISTRATIF DU QUÉBEC.

Au sommaire, rien n’a été négligé afin d’éclairé le TAQ afin qu’imbroglio il n’y ait pas.

Par fabrication de preuves, j’ai hérité d’un casier judiciaire avec éléments aggravants réf. : voie de fait contre un agent de la paix réf. : 450-0102700-020 de fausses accusations dans le but de me nuire ont été transmises au TRIBUNAL ADMINISTRATIF tant côté civil que policier en 2002 et 2003.

J’y suis accusé d’avoir :

Commis un méfait sur un bien, geste non prémédité de ma part et anodin sur un bien endommagé, irradier à la limite de sa longévité (résistance), geste posé tout à fait involontaire page 2 (2) paragraphe 3.

J’y suis accusé d’avoir :

Proféré des menaces d’incendier le bois de PIERRE BOUCHER, Me MIA MANOCCHIO à dû, avant d’entrer à la cour, m’expliquer de qui l’on parlait ne connaissant pas de PIERE BOUCHER. Je ne connaissait qu’un PIEREE, car les préposés sont tenus à l’anonymat. Cet individu riait, blaguait et fraternisait avec moi, me parlait de ses actifs puis est devenu soudainement agressif, autoritaire et menaçant alors que je m’entraînais avec une autre personne. Mes paroles s’envolèrent bien involontairement, inconsciemment et ce PIERRE m’humilia cavalièrement en m’isolant sans raisons et quelques minutes plus tard ce même intervenant PIERRE agissant de la même façon avec un autre patient fut blessé à la mâchoire et dû aller se faire soigner à l’infirmerie. Il ne fut revue qu’en fin de journée et était plutôt mal en point : 2 (2) paragraphe 5.

Je suis accusé de m’être livré à des voies de fait sur S. G. ce qui est faux. Premièrement un témoin oculaire qui aurait pu corroborer une altercation verbale de ma part envers SERGE GAGNON n’a jamais été entendu. Deuxièment SERGE GAGNON a agi par vengeance dans un but évident et unique de me faire du tort par motif de chicane de voisinage. RÉF. : JUGEMENT DE LA COUR SUPÉRIEURE DU Canada NO : 450-05-003-793-003, favorable à moi-même, gilles boutin.

À la page 5 (6) des propos tordus ont été utilisés contre moi, en aucun temps n’ais-je admis être un malade mental. J’ai cependant mentis en reconnaissant avoir été victime d’une certaine condition temporaire. J’Ai péché devant la cour, j’ai péché par dépit et manque de courage afin d’être jugé non coupable donc non responsable et être libéré de la contrainte de devoir payer des milliers de dollars en constats d’infractions qui m’avaient été émis par le SERVICE DE POLICE DE SHERBROOKE S.P.S. soit plus de 38constats au total, entre février et juin 2002 et mai et juillet 2003.

En 1993, les médecins psychiatres GAUDREAU et CASACALENDA ont tenté de me catégoriser maniaco-dépressif, de me convaincre de prendre du LITHIUM pour le reste de ma vie alors que mon problème était l’alcoolisme.

Entre août 1995 et mai 1998 j’ai été très sobre. Je me suis remarié et fondé une famille reconstitué de 5 personnes. En 1997, j’ai du me séparer pour des différents irréconciliables et en 1999, ruiné, j’ai du divorcé.

En 2002, saisis du mal de vivre, en crise existentielle à cause de mon alcoolisme, je fus accusé de refus d’obtempéré et je fus emprisonné au CENTRE de DÉTENTION de SHERBROOKE. La Cour du Québec m’imposa la prise de médication (ÉPIVAL). Cette médication fut abandonnée pour cause d’effets secondaires insoutenables réf. : page 3 (4) 2.

En 2003, la fin abrupte d’une relation avec une colocataire et amie dépressive et suicidaire et sa disparition pendant une semaine me catapulta dans une période de grande inquiétude et ma consommation d’alcool s’aggrava réf. : intervention policière entre le 4 et 6 avril 2003 (escorte policière).

Les 13-14-15 avril 2003 des manifestations paranormales mystiques qui eurent lieu dans ma résidence me portèrent à prononcer des paroles de menaces de mort car une présence olfactive était évidente à l’intérieur de ma résidence, mais inexplicable. Les événements entre le 4 et le 15 avril 2003 m’ont mené à la perte de la maîtrise de moi : (Galates 5-22) réf. : arrestation policière à mon domicile au  143 route 251, JOHNVILLE, causé par un appel d’un plaignant(e) anonyme et placé sous arrestation, par les policiers ALAIN VEILLEUX MAT : 8487 ET MIGUEL MORISETTE MAT : 9868 puis transporté en psychiatrie. En rapport avec les événements du 13-14-15 avril 2003, les médecins psychiatres LYNN GAUDREAU 17 avril 2003, DAPHNÉ MARUSI 18 avril 2003, WILLIAM SEMAAN 21 mai 2003 et DANIEL GUIMARAES 23 mai 2003 n’ont pas hésité à produire des rapports très négatifs, humiliants et remplis d’inexactitudes appelant à me discréditer et à me faire catégoriser comme pouvant représenter un danger pour le public et pour moi-même. Cependant, j’ai eu gain de cause le 26 mai 2003 en assurant ma propre défense contre le centre hospitalier UNIVERSITAIRE de SHERBROOKE HÔTEL-DIEU représenté par Me PHILIPPE BUREAU de DEMERS, BORDUAS en requête introductive d’instance pour ordonnance de garde dans un établissement de santé RÉF. : COUR DU QUÉBEC NO : 450-40-000-526-031 devant le Juge DONALD BISSONNETTE le 26 mai 2003.

Témoin : SHANNON BOUTIN
Témoin : ALAIN BOUTIN
Témoin : LESLIE PARKER
Témoin : SERGE JOSEPH Because the one who sends me gives life as much as it takes away life. I you 4 reverse side asks to believe me by wishing you a very GOOD YEAR OF 2002 OF REPENTANCE À my respect and in several respect unquestionably. That GOD the FATHER of OUR - LORD JESUS CHRIST ENFANTÉ PAR LA VIERGE MARY PLEINE OF FAVOUR, fills you the heart of necessary light Adrien Bourassa-Lacombe

J’ai été jugé et purgé des peines pour conduite avec facultés affaiblies refus de me soumettre, bris de probation, etc et maintenant je suis libre de toutes conditions depuis le 10 juillet 2003.

Considérant que ma venue à l'aile psychiatrique de l'Hôpital CHUS - Hôtel-Dieu de Sherbrooke (Québec) Canada, m’a permis de rencontrer Monsieur Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe qui pria JÉSUS LE CHRIST de NAZARETH d'intercéder auprès de DIEU

NOTRE-PÈRE afin que l'ESPRIT-SAINT vienne me délivré de l'emprise de l'alcool par SA TOUTE PUISSANCE, pour la GLOIRE de DIEU et le SALUT du MONDE.

Considérant que j’ai à cœur ce que monsieur Serge Bourassa-Lacombe a fait pour moi lors de cette prière historique.

J’ai aujourd’hui une vie équilibré, je suis abstinent en plusieurs choses. Je ne fume pas, je ne consomme ni drogue, ni alcool, je ne suis pas pharmaco dépendant et je ne suis ni dépendant affectif, je vis dans le célibat depuis 1997 et je n’ai personne dans ma vie mais j’ai la joie dans le cœur mes amis,parce que j’ai l’amour, je m’aime autant que j’aime mon prochain MATTHIEU 22:39.

En rétrospective : en 1993 mon arrestation par les policiers émanait d’un événement précis ou un profond désaccord avec mon employeur dominé par l’illogisme et le manque de compassion me porta à une consommation exagéré d’alcool se soldant par mon arrestation à cause de mon tempérament impulsif, impétueux et hyperactif.

En 2003, dix ans plus tard, mon arrestation par les policiers émanait encore une fois d,événements précis soit la disparition d’une colocataire suicidaire couronné de manifestation rarissime paranormales mystiques olfactive comparable en parallèle à une N.D.E. (Near Death Experience) AU PORTE DE LA MORT m’ont porté à une sacralisation du vivant, une grande compassion humaine, une grande croyance en l’haut de là et une abolition de la peur de la mort qui résultat à mon introduction sur le domaine des HELLS ANGELS pour leur faire face vers 8:30 du matin le 14 avril 2003 après avoir été blessé avec effusion de sang par l’un d’eux et avoir avisé les policiers du SPRS (SPS) de mon départ pour LENNOXVILLE afin de leur faire face. Chose que je fis, sans que les policiers se manifestent de quelques façon que ce soit.

En conclusion

Je me conforme aux lois des hommes, soit aux conditions usuelles de garder la paix et avoir une bonne conduite.

Je suis un travailleur, propriétaire ayant un domicile fixe, payeur de taxes, mis à part des infractions sommaire au Code Criminel sans éléments aggravant et la non exécution par CONRAD CHAPDELAINE d’un mandat d’appel sur jugement qui aurait eu pour résultat de démontré ma non culpabilité sur des fausses accusations de voies de fait sur l’agent SYLVAIN GEOFFROY MAT : 1122. Je serais un homme sans passé criminel au casier judiciaire vierge.

Enfin, je suis en position et en droit d’exiger d’être traiter normalement et d’obtenir justice soit d’être absout inconditionnellement de toutes contraintes afin de redorer ma réputation et ainsi reprendre ma place en fierté et honneur et vivre heureux.

Pour la PAIX dans le monde pour la GLOIRE de DIEU mon créateur et JÉSUS LE CHRIST mon sauveur. Que SA VOLONTÉ soit faite. Ainsi sois-t-il.

N.B. Advenant qu’un imbroglio subsisterait et m’empêcherait d’obtenir raison. Aucun effort ne sera négligé afin d’obtenir satisfaction pour une justice éclairée, afin de vivre heureux par amour 1 Corinthiens 1 :1-13

Je vous remets mon curriculum vitae en forme manuscrit complète et format commission de la construction du Québec partiel ainsi qu’une liste de 11 personnes à contacter me connaissant bien.

EMPLOYEUR

Propriétaire : René Desrosiers :
Directrice Générale : Denise Marquis :
Directeur (réparatrice) : Roch Roberge :
Contremaître de chantier : Nico Lacroix :
Contremaître de chantier : Denis Hubert :
Gérant du garage : Normand Leblanc :
Commissaire : Dany Brisson :

 563-0666 ou cell. : 822-6413
 563-0666
 822-4898
 822-2659
 829-4544
 829-4544
 512-8031

FAMILLE

Mère : Solange Leduc   
Fils : Shanon Boutin      
Frère : Alain Boutin     
Frère : Daniel Boutin      

 835-1289
 837-0596
 835-9246
 569-1492

DÉPÔT :

Considérant que Monsieur Serge Bourassa-Lacombe m’a demandé de bien vouloir devenir Vice-président de Serge Bourassa-Lacombe’s Fondation ce que j’accepta avec joie, cette fondation travaille maintenant à guérir la santé, les maladies mentales, l’alcoolisme et la poly-toxicomanie au Québec et au Canada afin de redonner fierté et honneur aux familles Québécoises et Canadiennes. Étant témoin oculaire des traitements criminels, abusif et non nécessaire que l’on a fait subir à cet homme, je suis devenu un témoin crédible étant abstinent en consommation d’alcool alors que je ne consommais aucune drogue légale ou médication lorsque j’étais avec monsieur Serge Bourassa-Lacombe à l’hôpital CHUS –HÔTEL-DIEU de SHERBROOKE Québec du 16 avril au 14 mai 2003.

Considérant que par la GRÂCE de DIEU j’ai été délivré de l’alcool,je me dois de participer à l’œuvre de DIEU par la même GRÂCE c’est pourquoi je suis engagé dans Serge Bourassa-Lacombe’s Fondation car j’ai vécu les dons spirituels que le Docteur Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe a reçu pour mener à bien l’organisme qui porte son nom et dont il assume la présidence depuis bientôt 10 ans.  

POUR TOUTES CES RAISONS :

En cette veille de la Journée du Souvenir moi Gilles Boutin, je dépose le deuxième parchemin intitulé PARCHEMIN II provenant de JAQUES CARTIER II surnom que la Première Nation Montagnaise de la Côte Nord ont donné historiquement le 11 septembre 1995 à Monsieur Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe. Ce PARCHEMIN II a été préparé de Vancouver en vue de l’audition d’aujourd’hui devant le TAQ et pour renforcir celui qui a été déposé par monsieur Serge Bourassa-Lacombe lors de l’audition du 23 octobre 1997 devant la Commission des Affaires sociales du Québec contre le Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke CHUS - FLEURIMONT.

Je dépose aussi 7 documents faisant parti intégrante du PARCHEMIN II car le PARCHEMIN II est composé de plus de 300 étapes dans la vie du Docteur Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe et dans l’histoire de sa Fondation.

Espérant que cela puisse redonner fierté et honneur aux familles Québécoises et Canadiennes.

Gilles Boutin

Gilles Boutin   D.D.V. !!! ©
«Défenseur de Vérité»
143 route 251,
Johnville (Quebec) Canada
J0B 2A0
Téléphone: (819) 837-0596

P.S Document est soumis devant le Tribunal Administratif du Québec en cette veille du «Jour du Souvenir 2004» afin qu’il soit pris avec le sérieux qu’il exige afin de construire un Pays Meilleur.