JACQUES CARTIER II
NOMADE PACIFIQUE & GUERRIER de la LUMIÈRE
LE PLUS GRAND ACTIVISTE ANTI-TERRORISTE AU CANADA DEPUIS 1995
 EN RELATION PUBLIQUE AVEC LA POLICE POUR LA SÉCURITÉ NATIONALE DU CANADA !

AVERTISSEMENT & AFFIDAVIT AU G8 !

«عربيّ»    «eNGLISH»    «ESPAÑOL» 

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe, surnommé DAVID ii depuis le 14 mars 2002, surnommé Martin Luther King Jr Le Blanc Tout Était Parfait Avec Le Noir depuis le 15 janvier 1996, surnommé Jacques Cartier II depuis le 11 septembre 1995, surnommé Victor DELAMARRE
II
depuis le 8 juin 1995, recommande à vous tous du G8 de tenir une enquête publique sur le comportement du Service de Police de Sherbrooke, ainsi que sur le comportement protectionniste émis par : Me Louise Marcotte, Me Gilles Mignault, Me Yves-Albert Paquette, Me Denis Racicot, Me Yves Renaud, Commissaire et/ou du Comité de la déontologie policière du Québec en rapport avec le Service de Police de la Ville de Sherbrooke.

Considérant que les dirigeants du Canada et du Québec sont lent à reconnaître tous les préjudices qui m'ont été causés par le Service de Police de la Ville de Sherbrooke.

Arrestation le 11 février 1995 et transport au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke !

Considérant que le comportement du Service de Police de la Ville de Sherbrooke à mon endroit m'a forcé à aller vivre un exile de 388 jours aux États-Unis soit du 6 novembre 1995 au 29 novembre 1996 afin de me permettre de me refaire une réputation.

Considérant que l'Immigration Américaine m'a demandé de retourner dans mon pays étant donné que mon nom avait été changé par Me Guy Lavigne, directeur de l'État Civil du Québec dans la décision No: 1996 CN 1149

Considérant que Commissaire et/ou du Comité de la déontologie policière du Québec en rapport avec le Service de Police de la Ville de Sherbrooke ont été rejeté quoi que véritable.

Plainte déposée en Déontologie Policière contre la Police de Sherbrooke le 19/03/1997 16 h 00 !

Plainte déposée en Déontologie Policière contre la Police de Sherbrooke le 05/04/1997 17 h 36 !

Considérant que lorsque j'ai fait mon apparition sur la scène politique comme candidat indépendant dans le Compté de Sherbrooke lors d'élection Canada 2000, j'ai été arrêté le 23 novembre par le bureau des enquêtes criminelles de Sherbrooke utilisant un nom qui n'était plus le mien, adresse inconnu et téléphone inconnu. Alors qu'au Canada pour que notre candidature soit accepté il faut que le candidat soit capable de fournir sous serment un adresse fixe et un numéro de téléphone tout en pouvant fournir une preuve valide de son identité devant le Directeur des élections.

Plainte déposée en Déontologie Policière contre la Police de Sherbrooke le 01/09/2001 21 h 30 !

Plainte déposée en Déontologie Policière contre la Police de Sherbrooke le 01/09/2001 23 h 22 !

Considérant que Monsieur André Castonguay, Capitaine du bureau des enquêtes criminelles du Service de Police de Sherbrooke a toujours refusé de faire la lumière dans cette histoire du 11 février 1995. 

Considérant que Monsieur Michel Carpentier, Directeur du Service de police de la Ville de Sherbrooke a toujours refusé de faire la lumière dans cette histoire du 11 février 1995. 

Considérant que Monsieur Jean Perreault, Maire de la Ville de Sherbrooke a toujours refusé de faire la lumière dans cette histoire du 11 février 1995. 

Considérant que Monsieur Serge Ménard, Ministre de la Sécurité publique du 26 septembre 1994 au 29 janvier 1996 et du 15 décembre 1998 au 30 janvier 2002 et Monsieur Normand Jutras, Ministre de la Sécurité publique depuis le 30 janvier 2002 ont toujours refusé de faire la lumière dans cette histoire du 11 février 1995. 

www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/24092000sprs.htm 

Considérant que l'Honorable Paul Bégin, Ministre de la Justice et Procureur général du 26 septembre 1994 au 25 août 1997 et depuis le 8 mars 2001 a toujours refusé de faire la lumière dans cette histoire du 11 février 1995.

www.bourassa-lacombe.org/fr/table/min_justice.htm 

Considérant que les différents remaniements ministérielles n'ont pas pour but de nuire à l'avancement de notre province et de notre pays.

Considérant que je corresponds assidûment avec tous les députés de l'Assemblée Nationale du Québec, avec tous les députés de la Chambre des Communes du Canada ainsi qu'avec tout les sénateurs du Canada afin de construire un Pays Meilleur.

Considérant que depuis le 20 avril 2002 06:50 heure avancée de l'Est la police incorruptible de mon Pays le Canada et de ma Province le Québec n'a plus a payé pour les quelques membres corrompus de la police qui se laissent entraînés par l'Esprit de l'Erreur.

Considérant que le 1er juillet 2002, en cette FÊTE du CANADA, j'ai été menacé par un policier et une policière travaillant sous les ordres de Monsieur Michel Carpentier, Directeur du Service de Police de Sherbrooke.

Considérant que je n'ai pas a payé pour un crime que je n'ai jamais commis et que je n'ai pas à supporter davantage le poids des crimes ayant été commis par un autre homme qui avait la reçu la même identité judiciaire que la mienne voire même prénom, même nom de famille, même grandeur, même taille, même jour, mois, année de naissance, même numéro d'assurance sociale (NAS) sans toutefois avoir la même couleur des yeux. N'ayant jamais eu les bras tatoués et ayant les yeux bleus alors que le violeur en série avait les yeux bruns et avait les deux bras tatoués. 

Considérant que le Service de Police de Sherbrooke doit se repentir plutôt que de continuer à vouloir se laisser berner par l'ESPRIT de l'ERREUR ! 

Considérant que le Canada s'est muni d'une Direction des renseignements criminels (DRC) pour repérer et explorer de nouvelles questions et examiner des aspects peu connus mais potentiellement importants de l'activité criminelle. Au cours des dernières années, les analystes ont rédigé des rapports spéciaux et des études portant, entre autres, sur le télémarketing et les fraudes en valeurs mobilières, le cryptage des données et la corruption policière. L'étude sur la corruption est, en effet, devenu un catalyste dans l'élaboration d'une stratégie anti-corruption d'ensemble pour la GRC.

Considérant que le G8 n'a rien à craindre de moi car je n'ai rien à craindre du G8 car je n'ai point fait de mal. Le G8 doit me considérer comme le plus grand activiste anti-terroriste du Canada depuis 1995.

Considérant que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de DIEU et la PRIMAUTÉ du DROIT.

Considérant que j'ai une mission depuis le 12 février 1995 pour mettre en LUMIÈRE ce qui est dans les TÉNÈBRES, que je vie le TOUT PAR LUI, EN LUI ET AVEC LUI et que celui qui s'appelle «JE SUIS» M'A PROTÉGÉ, ME PROTÈGE ET ME PROTÈGERA TOUJOURS par les PSAUMES 91 + 27.

Considérant que je vous rappelle que je pardonne à tous ces gens pour le mal qu'ils m'ont fait, mais DIEU ne me demande pas d'oublier ce destin qui est le mien mais plutôt de construire un Pays Meilleur avec toute cette histoire. Et par amour pour tout ces gens qui ont commis l'erreur de me faire du mal, je me dois de continuer à travailler pour les convaincre de faire repentance c'est-à-dire de reconnaître le tort qu'ils m'ont fait, de le regretter et de réparer dommages et intérêts, pour les différents préjudices que j'ai subi dans toute cette affaire. : www.bourassa-lacombe.org. 

Pour toutes ces raisons j'agis de PLEIN DROIT avec la PUISSANCE que le ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs me met dans le coeur. Après plusieurs tentative de ma part pour obtenir JUSTICE, je me vois dans l'obligation de construire une page Internet afin de RÉVEILLER CEUX QUI DORMENT car je suis une des VICTIMES de cette CORRUPTION POLICIÈRE ACTIVE depuis trop longtemps déjà. Celui qui s'appelle «JE SUIS» a fait de moi un NOMADE PACIFIQUE reconnu depuis plus de sept ans en plus d'être le plus grand GUERRIER de la LUMIÈRE de notre histoire Canadienne et Québécoise. 

Devant DIEU, je ne suis que la POINTE de L'ICEBERG, VICTIME d'un SERVICE de POLICE CORROMPU même s'il ne semble pas l'être. En ce 30 juillet 2002, c'est par la PUISSANCE du ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs que j'écris cette page d'histoire, pour toutes ces victimes qui ont été abusées, accusées injustement, battues, blessées, bousculées, chassés, droguées injustement, emprisonnés injustement, harcelées, injuriées, maltraitées, menacées, persécutées, poussées au suicide, torturées, tuées, usurpées, volées... par un ou des policiers du Service de Police de Sherbrooke. J'écris aussi cette page d'histoire Internet pour tout ces policiers qui ont œuvrés de près ou de loin dans une ou plusieurs de ces histoires immondes afin qu'ils puissent recevoir la GRÂCE nécessaire pour se repentir avec le coeur. 

Je me souviens très bien de ce vendredi 23 décembre 1983, lorsque deux honnêtes citoyens poseurs de tapis se sont faite mitraillés dans leur lit au Motel Le Châtillon à Rock Forest. Je me suis dit à ce moment là que s'aurait  pu être moi car j'étais appelé à utiliser l'hôtellerie comme tout commis voyageur. C'était considéré à l'époque comme l'erreur policière du siècle. Imaginez les familles concernées de près ou de loin par ces policiers municipaux de Sherbrooke qui venaient d'inscrire une bien triste page d'histoire dans les annales judiciaires québécoises en tuant Monsieur Serge Beaudoin, âgé de 33 ans, père d'un garçon de 5 ans. Monsieur Beaudoin était un honnête citoyen qui a été mitraillé de huit projectiles tirés au travers de la porte de la chambre # 5 du Motel Le Châtillon sur le boulevard Bourque de Rock Forest par André Castonguay, un enquêteur comptant 14 années de service au sein de la Sûreté municipale de Sherbrooke.

Veillez cliquez sur cette image pour pouvoir lire la page frontispice sur La Fusillade de Rock Forest du journal Allô Police du 28 février 1984 !

André Castonguay ce mitrailleur a été promu Capitaine des enquêtes criminelles du Service de Police de Sherbrooke après qu'une équipe multidisciplinaire soit venu à son secours. Je me souviens qu'André Castonguay avait vécu l'emprise de la panique dans le corridor de ce motel. Il fut très abattu par un choc émotionnel qui le conduisit dans un état hypoglycémique sans aucun doute, le glissant dans une dépression très profonde au dire de cet équipe multidisciplinaire. Le comportement d'André Castonguay à mon endroit depuis 1997 me porte à croire que cette homme a su convaincre tout le monde à l'époque qu'il méritait une promotion en usant d'un repentir hypocrite. Je crois qu'une Société Démocratique ou règne la suprématie de DIEU et la PRIMAUTÉ du DROIT doit reconnaître l'erreur d'une telle promotion. Car je suis convaincu comme plusieurs que cette promotion n'a fait qu'entraîné le Service de Police de Sherbrooke dans la corruption sans précédent, même si ce Service semble être incorruptible dans son ensemble vu de l'extérieur. 

«Louez l'Éternel! Heureux l'homme qui craint l'Éternel, Qui trouve un grand plaisir à ses commandements. Sa postérité sera puissante sur la terre, La génération des hommes droits sera bénie. Il a dans sa maison bien-être et richesse, Et sa justice subsiste à jamais. La lumière se lève dans les ténèbres pour les hommes droits, Pour celui qui est miséricordieux, compatissant et juste. Heureux l'homme qui exerce la miséricorde et qui prête. Qui règle ses actions d'après la justice. Car il ne chancelle jamais; La mémoire du juste dure toujours. Il ne craint point les mauvaises nouvelles; Son coeur est ferme, confiant en l'Éternel. Son coeur est affermi; il n'a point de crainte, Jusqu'à ce qu'il mette son plaisir à regarder ses adversaires. Il fait des largesses, il donne aux indigents; Sa justice subsiste à jamais; Sa tête s'élève avec gloire, Le méchant le voit et s'irrite, Il grince les dents et se consume; Les désirs des méchants périssent.» Psaume 112:1-10

La Fusillade de Rock Forest selon les témoins !

La mort violente de Serge Beaudoin, 33 ans, de l'Ancienne Lorette, est survenue dans le cadre de l'enquête policière suivant le meurtre d'un gardien de la Brink's au Carrefour de l'Estrie à Sherbrooke. Voici donc le fil des événements qui se sont produits à partir du vol meurtrier qui avait rapporté à ses auteurs la somme de 47 000 $. Les tueurs courent encore et l'enquête se poursuit malgré les incidents dont il a été question lors de l'enquête du coroner. On remarquera que certaines heures sont approximatives. Il faut garder en mémoire que cette liste a été dressée en fonction des différents témoignages entendus la semaine dernière.

Mercredi 21 décembre : 

En après-midi : Jean-Paul Beaumont quitte son domicile de l'Ancienne-Lorette pour se rendre en camionnette à Sherbrooke afin d'aider son ami Serge Beaudoin à poser du tapis dans un immeuble. À 17 h 10 : Beaumont arrive par autobus à Sherbrooke, ayant dû abandonner son véhicule dans la région de Saint-Louis-de-Blandford à la suite de troubles mécaniques. Il se rend tout de suite chez Bell, en taxi, pour y rejoindre son copain Beaudoin.

Jeudi 22 décembre : 

À 06 h 30 : Beaumont et Beaudoin terminent leur travail et quittent l'édifice de Bell Canada. À 07 h 30 : Les deux poseurs de tapis louent l'unité 5 du motel Le Châtillon, à Rock Forest, et se couchent pour dormir. À 14 h 00 : Beaumont et Beaudoin se lèvent. Entre 16 h 00 et 16 h 45 : Ils quittent le motel pour aller manger, faire quelques courses et rentrer au travail. À 16 h 15 : Deux voleurs entrent au Carrefour de l'Estrie, y surprennent deux gardes de la Brink's. Un des gardes, Yvon Charland est tué raide d'une décharge de fusil en pleine figure. Les voleurs prennent la fuite par la porte de service. Des dizaines de policiers de la région entreprennent des opérations pour cerner les suspects au cours des minutes suivantes, mais en vain.

Vendredi 23 décembre : 

Dans la nuit : Découverte d'un premier véhicule volé, sur le terrain de stationnement d'une brasserie de Sherbrooke, aux limites de Rock Forest. La voiture avait été rapportée volée à Sainte-Foy. À 04 h 30 : Beaumont et Beaudoin terminent leur travail. À 05 h 00 : Ils arrivent au motel, prennent chacun une douche et se couchent. À 05 h 10 : Le sergent Yvon Charpentier et l'agent Mario Laliberté, de Rock Forest, identifient une autre voiture volée, sur le stationnement de la Plaza Rock Forest, à quelque 1 500 pieds du motel Le Châtillon. On y trouve un coupe-vent bleu, des balles de revolver ainsi qu'une carabine. Cette voiture est un peu plus tard identifié formellement comme ayant servi aux voleurs du Carrefour de l'Estrie. À 05 h 25, Le Sergent Charpentier avise, par téléphone, le détective Roger Dion, à Sherbrooke, que l'on vient de trouver une voiture volée sur le stationnement de la Plaza Rock Forest. Un peu plus tard : Les policiers de Sherbrooke se présentent au centre commercial, prennent possession dudit véhicule et le font remorquer à Sherbrooke. Les détectives demandent alors aux policiers de Rock Forest de vérifier les hôtels et motels de leur territoire, se disant maintenant certains que les voleurs n'ont pas encore quitté la région.

Vers 06 h 00 : Les policiers de Rock Forest rencontrent M. Guy Donahue au motel Le Châtillon et apprennent que deux individus de l'Ancienne-Lorette ont loué une chambre la veille, à une heure inhabituelle. La description physique coïncide avec celle des suspects du meurtre survenu à Sherbrooke. Les renseignements sont communiqués aux enquêteurs de Sherbrooke. Quelques minutes plus tard, le détective Michel Salvail communique avec le sergent Charpentier et lui dit : «On descend», tout en lui demandant, de garder un œil, à distance, sur le motel. Vers 06 h 15 : Le sergent Roger Cloutier, de la gendarmerie de Sherbrooke, se fait demander de réunir tous les agents disponibles pour une opération. On devra se munir de gilets pare-balles. Les détectives Salvail, Dion et Castonguay rencontrent sept agents et leur expliquent brièvement qu'on croit avoir cerné les suspects à Rock Forest et qu'on mènera une opération à «effet surprise» pour tenter de les coincer s'ils sont encore dans leur chambre.

À 06 h 45 : Le sergent Cloutier prend l'initiative de téléphoner à une compagnie d'ambulances pour que l'on garde une ambulance en «stand by» au cours des minutes suivantes. «Par mesure de prudence», dit-il. À 06 h 50 : Tous les policiers se rencontrent sur le stationnement de la Plaza Rock Forest. Le détective Salvail va à la rencontre des policiers de Rock Forest, au motel Le Châtillon, y prend des renseignements et revient sur le stationnement où, dans la neige, il trace un croquis des lieux pour familiariser les policiers avec l'endroit qu'ils auront à envahir. À 06 h 55 : Les policiers envahissent le motel. Au moins sept d'entrent eux prennent placent en des endroits stratégiques à l'extérieur. On procède à l'opération et la fusillade éclate. À 06 h 58 : Une première ambulance est appelée au motel Le Châtillon. À 07 h 05 : On demande un autre ambulance. À 07 h 10 : La première ambulance arrive au motel et cueille un premier blessé. À 07 h 18 : L'ambulance arrive à l'Hôtel-Dieu de Sherbrooke avec le blessé Beaudoin. À 07 h 24 : Le deuxième ambulance arrive au motel. À 07 h 32 : L'ambulance repart en direction de Sherbrooke avec un deuxième blessé Jean-Paul Beaumont. Un peu plus tard : Le blessé Serge Beaudoin est transféré de l'Hôtel-Dieu au CHUS en raison de la gravité de son état. À 10 h 20 : Serge Beaudoin meurt sur la table d'opération où on tentait de le ranimer au CHUS.

L'expert en balistique Yvon Thériault : 21 balles dans la porte du motel et quatre se sont rendues jusque dans l'unité 4 occupé par M. Edward Redden et sa femme. 

Il appert de l'enquête du coroner que les deux policiers qui ont fait feu sont les détectives Roger Dion qui a admit s'est servi d'un pistolet de calibre 45 en tirant le premier coup de feu car il avait peur de mourir et puis André Castonguay aurait tiré un peu plus de 2 secondes car son arme de service était une mitraillette de 9mm pouvant être mis en mode automatique avec une réponse de 10 balles/secondes. Les détectives Roger Dion et André Castonguay ont toujours reçu leur plein salaire malgré tout.

Voici l'ordre des témoins à l'enquête du Coroner !

Lundi le 19 février 1984 :

Agent Michel Martin, policier-photographe à la police municipale de Sherbrooke; agent Michel Poulin, du Service d'identité judiciaire (SIJ) de la Sûreté du Québec; Dr Jean Hould, pathologiste de l'Institut de médecine légale, Montréal; Dr Vincent Echevey, médecin, chirurgien général vasculaire et thoracique au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE); Yvon Thériault, spécialiste en balistique de l'Institut de médecine légale, Montréal; Guy Donahue, copropriétaire du motel Le Châtillon, Rock Forest; Edward Redden, touriste d'Edmonton, Alberta; Jean-Paul Beaumont, paysagiste et compagnon de Serge Beaudoin, la victime; Mme Denise Savage, répartitrice au service d'ambulances Sécurité de l'Estrie et SOS; Benoit Giguère, ambulancier; Daniel Brochu, ambulancier; sergent-détective Camille Vachon, de la police municipale de Sherbrooke; sergent Roger Cloutier, de la police municipale de Sherbrooke.

Mardi le 20 février 1984 :

Agent Jean-Guy Dussault, policier à Sherbrooke; agent Mario Bélair, Richard Fontaine, policier à Sherbrooke; détective Michail Salvail, de la police de Sherbrooke; détective Roger Dion, de la police de Sherbrooke; Détective André Castonguay, de la police de Sherbrooke.

Mercredi le 21 février 1984 :

Sergent Yvon Charpentier, de la police de Rock Forest.

Veuillez prendre note que c'est tout ce que je suis appelé à écrire pour le moment. J'ai relue cette histoire dans les journaux : Allô Police et Journal de Montréal. J'aimerais bien avoir la collaboration du Ministre de la Justice Paul Bégin dans cette affaire afin de pouvoir décrire cette page d'histoire le plus fidèlement possible dans cette page Internet. J'aimerais pouvoir y ajouter toute les étapes décisionnelles que le ministère à dû prendre à cette époque après l'enquête du Coroner et les différents procès dans toute cette histoire. J'aimerais connaître aussi les raisons qui ont poussé les décisionnaires vers la promotion d'un tueur. Cela exposera peut-être bien que cette promotion n'était pas la solution pour éviter la formation de la corruption à l'intérieur du Service de Police de Sherbrooke, à moins que la corruption est été présente bien avant la fusillade de Rock Forest ! Chose certaine, par respect pour MON PAYS, je n'ai pas le DROIT de PASSER SOUS le SILENCE se que je sais et ce que j'ai vue et entendue. 

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COUR SUPÉRIEUR DU CANADA  NO : 450-05-002521-983 

DÉCLARATION déposé le 14 Avril 1998

AU SOUTIEN DE SON ACTION,  LE DEMANDEUR EXPOSE RESPECTUEUSEMENT CE QUI SUIT :

1. Le demandeur est né à Verdun le 20 juin 1957, sous le nom Serge Lacombe, nom qu’il porta officiellement jusqu’au 12 juillet 1996;

2. En date du 12 juillet 1996, le demandeur fut autorisé par le Directeur de l’état civil à utiliser le nom de Serge Bourassa-Lacombe;

3. En date du 11 février 1995, le demandeur n’avait aucun antécédent psychiatrique ni aucun trouble d’ordre mental;

4. Bien au contraire, le demandeur possédait un passé fort reluisant ayant notamment étudié pendant plus de 18 ans dans différentes écoles, collèges et Centres de formation, obtenant à chaque occasion d’excellents résultats scolaires le tout tel qu’il appert de la copie des relevés académiques à être produits au soutien des présentes sous la cote P-1;

5. Il travaillait également depuis 1970, et souvent même pendant ses études, à différents emplois auxquels il offrait un excellent rendement, le tout tel qu’il le sera plus abondamment démontré lors de l’enquête;

6. Le demandeur a principalement travaillé dans le domaine de l’automobile, sur une période d’environ 25 ans, en tant que représentant, notamment pour la compagnie Bear Automotive Inc. de 1984 à 1987, et pour la compagnie Moog Canada Ltée. de 1987 à 1990;

7. Le demandeur obtenait d’excellents résultats, le tout tel qu’il appert des différentes correspondances provenant de ses employeurs et de ses clients à être produites au soutien des présentes sous la cote P-2;

8. Depuis septembre 1992, le demandeur étudiait en technique de santé animale au Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke);

9. Encore une fois il obtenait d’excellents résultats académiques et il agissait même en tant que président de classe;

10. Vers la fin de l’année 1994 et le début de l’année 1995, malgré le peu d’appui obtenu par le corps professoral de la technique en santé animale du Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke), le demandeur a obtenu que ses stages de troisième année puissent être effectués en Floride, dans un centre de traitement pour les chevaux de courses, le tout tel qu’il appert des différentes correspondances à produire au soutien des présentes sous la cote P-3;

11. Le 11 février 1995, les parents du demandeur lui rendaient visite à son logement;

12. Préalablement à cette visite, puisque les relations entre le demandeur et sa colocataire étaient plutôt tendues, il fut convenu entre les deux que cette dernière ne se présenterait pas au logement qu’ils habitaient pendant la visite des parents du demandeur;

13. Malgré cette entente, la co-locataire du demandeur s’est présentée dans le logement et de façon presque inévitable une querelle s’est amorcée entre cette dernière et le demandeur, au cours de laquelle ladite co-locataire prétendait que le demandeur n’allait plus au collège et prenait de la drogue;

14. Au plus fort de ce conflit, le demandeur a donné un coup de poing sur une table sans toutefois menacer ou violenter sa co-locataire;

15. La co-locataire du demandeur ayant trouvé ce geste agressif, a décidé de communiquer avec les policiers de Sherbrooke afin de demander l’assistance de policiers puisqu’elle se prétendait victime de violence de la part du demandeur;

16. Voyant le scénario invraisemblable qui se dressait devant ses yeux, le demandeur a décidé de ne pas en rester là et de se rendre lui-même jusqu’au poste de Police afin de faire connaître sa version des faits et d’éviter l’humiliation d’une intervention policière dans son propre appartement;

17. Une fois rendu au poste de Police, ces derniers n’ont jamais permis au demandeur de donner sa version des faits, ils l’ont plutôt laissé attendre dans le hall avant de lui demander de les suivre dans un endroit où il pourrait soit disant s’expliquer;

18. Il fut placé dans un véhicule de patrouille et conduit directement au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke, situé sur la 12e Avenue Nord à Fleurimont;

19. Le demandeur fut immédiatement pris en charge par le personnel du Centre Hospitalier qui, sans délai et toujours sous la supervision des forces policières ont placé le demandeur dans une chambre d’isolement portant le numéro 22 de l’urgence du Centre Hospitalier précédemment mentionné;

20. En tout et partout le demandeur fut maintenu pendant quarante-huit (48) heures à l’urgence dudit Centre Hospitalier et fut par la suite transféré à l’aile 4B à l’insu du demandeur qui s’était fait dire qu’on l’amenait dans une chambre plus confortable;

21. Le demandeur qui n’a jamais consenti de façon libre et éclairée à son maintien dans un Centre Hospitalier fut ainsi détenu contre son gré pour une période totale de cinquante-sept (57) jours, soit jusqu’au 12 avril 1995 inclusivement;

22. Le demandeur fut totalement privé de sa liberté durant cette période, à l’exception de trois (3) sorties conditionnelles qui lui furent autorisées pour le 5 mars, le 11 mars ainsi que le 11 avril 1995;

 Pour tout connaître de cette poursuite : www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/court_super/140498.htm

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Rencontre Anonyme Windsor (Québec) 1997

J'ai rencontré beaucoup de personnes depuis 1995 qui ont été touché par l'ouverture de mon coeur et le ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs s'est servi de moi à mainte occasions pour sauver des vies humaines et/ou animales. Je me souviens d'avoir rencontré un homme dans Windsor une municipalité qui se situe à environ 20 minutes de la ville de Sherbrooke. Après lui avoir raconté mon histoire et ma mission cet homme à son tour me raconta qu'il était natif de Sherbrooke et que toute sa famille vivait encore dans cette ville mais que cependant il ne pourrait jamais retourner dans cette ville. Ma réaction fut spontané et je lui fit remarqué qu'on vit dans un pays libre et qu'il devrait avoir cette liberté de pouvoir visiter ou vivre à Sherbrooke.

Il me dit encore que cela serait impossible car après avoir eu une enfance difficile il s'est mis à faire les cent coups au courant de son adolescence pour continuer dans son âge adulte. Il m'avoua avoir fait de la prison et du pénitencier. Il me dit aussi qu'il avait purgé toute sa peine envers la société, il avait compris en vivant à l'intérieur d'un pénitencier que DIEU était beaucoup plus fort que lui. Ce qui l'avait amené à se repentir avec le coeur pour ensuite vivre une bonne réinsertion sociale qui débuta à Sherbrooke. Cette réinsertion sociale fut cependant de courte durée car marchant paisiblement sur un des trottoirs de la ville. Les policiers de Sherbrooke l'on cueilli où il se trouvait à ce moment là. L'homme continue par me dire que plusieurs policiers de Sherbrooke l'on battu, pour ensuite lui vider sur lui deux à trois bouteilles de bière. Pour finalement lui dire : «On t'a ramassé sur la voie publique en boisson, puis on t'a amené au poste et la tes tombés dans les escaliers. OK» L'homme fini par me dire devant cette violence et cette persécution j'ai décidé qu'il valait mieux pour moi de quitter la ville pour ne jamais y revenir.

Pendant que cet homme me raconta son histoire, le ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs m'a révélé que cette homme était des plus véritables et que sont histoire n'était pas imaginée mais bien vrai. Combien sont-ils à avoir le même genre de vécu ? Quoi qu'il en soi un s'est déjà beaucoup trop car ici on vit au Québec dans le Canada !.. 

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Signataire de mon Livre d'Or : Mercredi, 12 juillet 2000 10:00:00

Je n'ai jamais eu de problèmes de santé mentale mais par le biais d'une émission de télé très connue, je suis entré en contact avec une famille monoparentale où un jeune garçon était régulièrement gardé embarré dans sa chambre sous les conseils d'un pratiquant du CHUS qui a été identifié dans des procédures judiciaires civiles entreprises contre moi afin de cacher toute l'affaire, ceci sans compter une poursuite criminelle organisée avec la collaboration des service de police de la ville de Sherbrooke dans laquelle j'avais été suivi pendant 30 heures pour la construire et dont j'ai été acquitté. Je ne passerai pas sous silence également que la DPJ de Sherbrooke appuyait toute cette violence dont étaient victimes des enfants sans défense. J'ai découvert votre site par hasard et il m'a donné une certaine frousse en découvrant que les abus psychologiques seraient une chose courante au CHUS et à la ville de Sherbrooke. Je ne sais plus si je dois continuer à essayer de dénoncer toute l'histoire car seul contre toute cette «mafia» que je découvre bien structurée, je m'épuise. Bonne chance dans vos démarches

- De Anonyme par crainte ! le 12/7/2000 10:00:00 AM. Pays: Canada Région: Sherbrooke (Québec)

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CONTRAINTE SÉVÈRE À LA BONNE MARCHE ÉLECTORALE
ÉLECTION CANADA 2000 - COMPTÉ SHERBROOKE
23 NOVEMBRE 2000

23 novembre 2000 03 h 27 à 03 h 33 SPRS Livraison Spéciale de mon programme accompagné de 160 cartes d’affaires reçu par le Lieutenant Jolain pour André Castonguay, directeur des enquêtes criminelles

23 novembre 2000 14 h 04 à 14 h 08 SPRS Rencontre André Castonguay pour suivi approprié : «J’ai reçu ton programme électoral et tes cartes d’affaires, je sais qu’un de mes enquêteurs demande à te voir.»

23 novembre 2000 14 h 08 à 14 h 11 André Castonguay m’accompagne du R.C. au 2e étage du 400 rue Marquette Sherbrooke

23 novembre 2000 14 h 11 à 14 h 19 On me demande que renferme mon sac rouge et si je possède des armes avec moi. Je sort alors de ma poche gauche mon petit canif. On décide alors de me le saisir. En attente dans un pièce très petite, on ferme la porte sous clef me demandant d’attendre l’enquêteur Luc Baillargeon 

23 novembre 2000 14 h 19 à 14 h 45 Luc Baillargeon arrive accompagné par Alain Lévesque tous deux enquêteurs. Monsieur Baillargeon me présente le formulaire : «Demande D’Assistance Agent de la Paix» Ce formulaire ne me concerne pas du tout car le nom du bénéficiaire demandé n’est pas le mien. J’attire l’attention des enquêteurs sur ce litige mais ces derniers veulent l’ignorer afin de nuire à la bonne marche de cette campagne électorale. Comme la portée de l’accusation est très préjudiciables pour ma candidature à titre de candidat indépendant de Sherbrooke ! Je demande l’aide d’un avocat soit Me Bernard Caouette (Luc Baillargeon me dit qu’il n’est pas disponible pour l’instant) Je demande donc Me Jacques Blanchette (Idem) Finalement, Me Bernard Caouette me rejoint au téléphone, je lui explique la situation et à sa demande je me suis soumis à cette évaluation afin de me permettre d’écrire cette présente lettre.

23 novembre 2000 14 h 45 à 14 h 55 dans voiture non identifié conduite par Luc Baillargeon, je suis assis sur la banquette arrière au côté d’Alain Lévesque 

23 novembre 2000 14 h 55 à 16 h 06 Rendu au CLSC, je rencontre Madame Floyd et Monsieur Bourgault en présence de l’enquêteur Baillargeon pour un motif de RISQUE HOMICIDAIRE voire RISQUE DE DEVENIR TUEUR EN SÉRIE Car ils se réfèrent tous à un Dossier Médical Criminel CHUS 398 068. Dossier auquel il existe depuis le 14 avril 1998 une poursuite civile de 1 888 000 $ devant LA COUR SUPÉRIEUR DU QUÉBEC, district Saint-François, en plus il y a une plainte criminelle SBK20000918013 accueilli par le SPRS contre le CHUS.

Les policiers de Sherbrooke savent qu'il est très difficile de prouver en Cour l'intention criminelle de nuire !... 

   «Heureux l'homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, 
Qui ne s'arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs,
Mais qui trouve son plaisir dans la loi de l'Éternel, Et qui la médite jour et nuit!
» Psaume 1:1-2

«Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos cœurs devant lui; car si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses. Bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. Et c'est ici son commandement: que nous croyions au nom de son Fils Jésus Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu'il nous a donné. Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui; et nous connaissons qu'il demeure en nous par l'Esprit qu'il nous a donné.»1 Jean 3:18-24

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Sherbrooke Décembre 2000

Un homme que j'ai rencontré aux Soupes Populaires de Sherbrooke EL SHADAÏ et LA CHAUDRONNÉE, je sais qu'il vit de l'aide sociale et qu'il est alcoolique. Au mois de décembre 2000, il voulait me vendre 4 bouteilles de bière pour manger car il avait trop bu et il avait très faim. Il avait tellement faim qu'il voulait me les vendre pour deux dollars. Peut-être voulait-il me testé ! Quoi qu'il en soit je lui ai pris deux bouteilles de bières et je lui ai donné cinq dollars, il insista pour me donner les quatre. Je lui ai fait comprendre qu'il serait mieux d'en gardé deux pour son lendemain de veille. J'ai remarqué qu'il avait été battu depuis peu. Il m'a confié que le 1er du mois de décembre, il était aller faire une commande d'épicerie et qu'il s'était fait voler tout son argent en se faisant attaqué par derrière. Lorsqu'il s'était réveillé de cette attaque, il téléphona à la Police de Sherbrooke pour rapporter s'être fait assommer et voler. C'est alors que les policiers sont venus à sa rencontre pour non pas prendre un rapport d'événement sur le vol, mais plutôt lui remettre une contravention pour s'être retrouvé sur la voie publique en boisson. Est-ce une pratique courante dans la police ? Chose certaine à Sherbrooke ce n'est pas le seul cas du genre.

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Marc Gilbert abusé par la médecine et la police !

Je connais Marc Gilbert depuis l'été 1997, il est vrai que Marc est un ex-toxicomane devenu Junkie de la drogue légale. Le 03 mars 2002, j'était allé lui rendre visite avec un ami et j'avais constaté qu'il avait beaucoup trop d'effet secondaire par la surdose de médication que lui prescrivait les médecins du CHUS. J'ai revue Marc le 31 mars 2002 et j'apprends qu'il a été persécuté par des policiers de Sherbrooke parce qu'il est connu comme étant  un homme qui écoute de la musique chrétienne avec l'aide de son walkman. Il faut savoir que Monsieur Gilbert a finalement été expulsé de sa maison de chambre de la rue Aberdeen le 14 mars pour se retrouver à la Maison Saint-Georges, situé au 433  rue Marquette alors que le Poste de police se trouve au 400 de la même rue. 

Or le 28 mars vers 04 h 00 du matin, Marc décide d'aller prendre une marche car il n'arrive plus à dormir. C'est alors qu'il se retrouve en face de l'édifice de communication Québec sur la rue Belvédère Nord à Sherbrooke, non loin de son lieu de résidence. Il est tombé sur le trottoir en difficulté de santé et il s'adresse à deux jeunes d'environ 18 ans qui passaient par là, afin qu'ils puissent demander pour lui qu'on le conduise à l'hôpital à cause de difficulté respiratoire causé par l'absorption d'une prescription trop importante de médicaments. Des policiers travaillant au Service de Police de Sherbrooke sont arrivés et selon Monsieur Marc Gilbert, ils l'ont torturé, puis menotté en lui disant : «T'avais besoin d'attention en v'là de la tension !» Lorsqu'ils sont arrivés sur les lieux, ils ont demandé aux deux jeunes de s'en aller parce qu'ils n'avaient plus d'affaire là. Ils étaient sortie de deux autos patrouilles et d'une camionnette de patrouille qui se trouvait entre les deux autos. Ils étaient arrivés deux par véhicules pour repartir quatre dans la camionnette pour accompagner Marc non pas à l'hôpital mais bien au poste de police.

Aux postes de police, ils l'ont fouillé puis ils l'ont mis dans une cellule. Une policière dans l'attente sachant qu'il est chrétien était allé lui tendre une revue pornographique pour passer le temps. Puis parce qu'il s'est servi de quelques versets bibliques ont le menacé avec une bouteille de poivre de cayenne. Finalement avant de le libéré, l'agent Lemieux matricule # 1144 unité # 130 lui aurait signifié à 05 h 25 le constat d'infraction SBK020328004 pour s'être avachi, étendu ou endormi dans une place ou un endroit public le 28 mars 2002 à 04 h 55 en face du 200, rue Belvédère Nord, Sherbrooke.

Je me souviens de cette après-midi du lundi de Pâques, le 1er avril 2002,  J'étais avec Rudy Gourley & Marc Gilbert, nous nous sommes rendu au poste de police de la Sûreté du Québec entre 14 h 24 et 14 h 28 :

Sûreté du Québec - District de l'Estrie
Sergent Tomassin 
40, rue Don-Bosco Sud, Sherbrooke (QC) J1L 1W4
Téléphone : (819) 564-1212 Urgence : 310-4141 Télécopieur : (819) 572-6083 

Dans le but que Marc Gilbert puisse déposer une plainte officiel contre le Service de Police de Sherbrooke qui l'avait violenté lorsque Marc Gilbert avait eu un malaise dû à un surdosage de médication sur la rue Belvédère Nord en face des bureaux de Communication Québec. Le Sergent Tomassin nous a indiqué que la seule procédure était la Déontologie Policière. Par contre, il était environ 14 h 45 lorsque nous étions assis dans la camionnette GMC de Rudy Gourley, lorsque trois à cinq auto patrouille du Service de Police de Sherbrooke nous suivais sur la rue King Ouest en direction de Rock Forest tout gyrophare allumés. C'est alors que j'ai ouvert la porte pour regarder en arrière en direction des policiers. Le passager de l'auto patrouille de droite qui nous suivait m'a indiqué de tourner sur la rue transversale. 

C'est alors que le ROI des rois et SEIGNEUR des seigneurs m'a demandé de stationner dans le stationnement du Tim Hortons devant la façade du restaurant. Il va sans dire qu'on prenait beaucoup de place dans tout ça car derrière la camionnette il y avait une remorque et sur cette remorque se trouvait attaché une télévision. J'ai sorti de la camionnette en laissant la porte ouverte et je me suis présenté à la clientèle du Tim Hortons qui était la foule du premier spectacle improvisé de JACQUES CARTIER II car je jouais de l'harmonica pour la Serge Bourassa-Lacombe Fondation et pour mes amis du Service de Police de Sherbrooke. J'étais clairement identifié avec ma veste de sécurité orange visible à 10km selon le fabriquant écussonné au nom de la Fondation que je préside.

Puis un policier viens à ma rencontre car trois auto patrouille non ont suivi jusque là, les autres étant parti. Puis le policier m'a demandé d'arrêter de jouer de mon harmonica, mais j'ai continué dans jouer encore jusqu'au moment que le ROI des rois et SEIGNEUR des seigneurs m'a demandé dans joué dans ce cas si c'était environ trente secondes de plus. Il pris alors un ton autoritaire en me disant que j'allais l'écouter, je lui dis qu'il vaudrait mieux pour tout le monde qu'il m'écoute. Je lui ai fait remarqué que le Tim Hortons était plein de gens, qu'il y avait aussi beaucoup de gens qui circulaient actuellement sur la rue King Ouest et que tous se passait devant DIEU NOTRE-PÈRE, devant JÉSUS LE CHRIST de NAZARETH celui enfanté par la VIERGE MARIE et devant le SAINT-ESPRIT et que nous étions aussi le lundi de Pâques. En plus j'ouvre la portière coulissante et je lui montre Marc Gilbert un homme qui quelque jours auparavant avait vécu une certaine brutalité policière de la part de quelques uns de ces confrères de travail.  Je lui dit aussi être connu de Michel Carpentier - Directeur du Service de Police de Sherbrooke et aussi connu de André Castonguay - Directeur des Enquêtes Criminelles

Je lui rappelle que je n'ai pas à payer pour un crime que je n'ai jamais commis. Je ne suis pas connu moi, car je suis très, très, très, très, très, très, très, très, connu. En plus d'avoir été votre candidat indépendant dans le Comté de Sherbrooke lors d'Élection Canada 2000. Je lui faisait remarqué aussi qu'ils n'avaient pas à faire comme si ils ne me connaissaient pas et je lui faisait remarquer ou ils en étaient rendu dans leurs relation avec la Serge Bourassa-Lacombe Fondation, une fondation qui a été créé par DIEU le 12 février 1995 pour dénoncer la Mafia Médicale et vaincre ses Maladies Mentales afin de construire un Pays Meilleur ! Tout en diminuant la criminalité, la récidive criminelle et le taux de suicide. Il n'est peut-être pas bon de rappeler la faute d'André Castonguay mais devant son comportement et le comportement de ses confrères de travail à mon égard, je ne vois aucun signe d'empressement à la repentance dans le dossier qui me concerne avec eux. Finalement après avoir fais leurs vérifications n'ayant rien contre nous, ils nous ont laisser partir en nous interdisant de pénétrer à l'intérieur de ce Tim Hortons. Je n'ai rien à craindre d'eux car celui qui me paye est beaucoup plus puissant que toute leurs forces réunis.

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Recommandation au G8 !

Pour toute ces raisons, il est fortement recommandé au G8 de demander au Gouvernement Canadien de mettre le Service de Police de Sherbrooke et la Déontologie policière du Québec sous tutelle, pour toutes ses activités contestés sachant que c'est seulement la POINTE de l'ICEBERG. D'instituer une enquête publique sur le Service de Police de Sherbrooke et sur la Déontologie policière du Québec par la Direction des renseignements criminels (DRC) pour repérer, explorer et examiner la corruption policière qu'il y a au sein du Service de Police de Sherbrooke de même qu'À la Déontologie policière du Québec. Cela devrait être fait dans les plus brefs délais pour la Sécurité publique de tout le monde. Le tout afin de construire un Pays Meilleur et pour que le Canada demeure fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de DIEU et la PRIMAUTÉ du DROIT. 

«Délivre-moi de mes ennemis, ô Éternel! Auprès de toi je cherche un refuge.
Enseigne-moi à faire ta volonté! Car tu es mon Dieu. 
Que ton bon esprit me conduise sur la voie droite!
A cause de ton nom, Éternel, rends-moi la vie! 
Dans ta justice, retire mon âme de la détresse!»
Psaume 143:9-11

Je vous prie et vous supplie de croire que DIEU NOTRE-PÈRE à la demande de SON FILS UNIQUE, JÉSUS LE CHRIST de NAZARETH, sous la protection des Psaumes 91 + 27 par le SAINT-ESPRIT, m’a protégé, me protège et me protégera de tous mes ennemis. Et pour accomplir la Mission qu'il m'a donné le 12 février 1995, IL me demande d'être en relation publique avec la police pour la Sécurité Nationale du Canada, je n'ai rien à craindre dans mon travail car je n'ai point fait de mal. Et je prie pour que le ROI des rois & Seigneur des seigneurs vous viennent en aide comme il le fait si bien pour moi.

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Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe
Alias : Victor DeLamarre II - Jacques Cartier II - David II
Martin Luther King Jr Le Blanc Tout Était Parfait Avec Le Noir
site web : www.bourassa-lacombe.org
 
attention: Tout courriel envoyés à cette adresse seront utiles pour moi, JACQUES CARTIER II ! 
 
 
Bureau
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