Considérant que je crois que : «Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.» Matthieu 28:18-20

Considérant que je crois qu'il est : Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit : 

Considérant que je crois qu'il existe au Canada : une Garantie des droits et libertés et que La Charte canadienne des droits et libertés garantit les droits et libertés qui y sont énoncés. Ils ne peuvent être restreints que par une règle de droit, dans des limites qui soient raisonnables et dont la justification puisse se démontrer dans le cadre d'une société libre et démocratique.

Considérant que je crois que : 2. Chacun a les libertés fondamentales suivantes : a) liberté de conscience et de religion ; b) liberté de pensée, de croyance, d'opinion et d'expression, y compris la liberté de la presse et des autres moyens de communication ; c) liberté de réunion pacifique ; d) liberté d'association.

Considérant que je crois que nous avons aussi le Droits à l'égalité : et que par cela 15. (1) La loi ne fait acception de personne et s'applique également à tous, et tous ont droit à la même protection et au même bénéfice de la loi, indépendamment de toute discrimination, notamment des discriminations fondées sur la race, l'origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, le sexe, l'âge ou les déficiences mentales ou physiques.

(2) Le paragraphe (1) n'a pas pour effet d'interdire les lois, programmes ou activités destinés à améliorer la situation d'individus ou de groupes défavorisés, notamment du fait de leur race, de leur origine nationale ou ethnique, de leur couleur, de leur religion, de leur sexe, de leur âge ou de leurs déficiences mentales ou physiques.

Considérant que je crois que la PROVINCE du QUÉBEC se trouve encore comme faisant partie de la Constitution Canadienne.

Considérant que je crois que : La Charte des droits et libertés de la personne affirme et protège les droits et libertés de toute personne vivant au Québec. Elle a comme objectif majeur d'harmoniser les rapports des citoyens entre eux et avec leurs institutions, dans le respect de la dignité humaine.

Considérant que je crois au : Préambule de la Charte pose les bases de cette harmonisation, en faisant notamment appel au respect mutuel et à la réciprocité. Le préambule de la Charte affirme que : Tout être humain possède des droits et libertés intrinsèques destinées à assurer sa protection et son épanouissement; tous les être humains sont égaux en valeur et en dignité et ont droit à une égale protection de la loi; le respect de la dignité de l'être humain et la reconnaissance des droits et libertés dont il est titulaire constituent le fondement de la justice et de la paix; les droits et libertés de la personne humaine sont inséparables des droits et libertés d'autrui et du bien-être général; les libertés et droits fondamentaux de la personne doivent être garantis par la volonté collective et mieux protégés contre toute violation.

Considérant que je crois que j'avais, j'ai et j'aurai toujours Les libertés et droits fondamentaux suivant : Le droit à la vie, à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté de sa personne, ainsi que la reconnaissance de la personnalité juridique de chaque personne [article 1]; le droit au secours [art. 2]; les libertés de conscience, de religion, d'opinion, d'expression, de réunion pacifique et d'association [art. 3]; le droit à la sauvegarde de sa dignité, de son honneur et de sa réputation [art. 4]; le droit au respect de sa vie privée [art. 5]; le droit à la jouissance paisible et à la libre disposition de ses biens, sauf dans la mesure prévue par la loi * [art. 6]; le droit à l'inviolabilité de sa demeure [art. 7 et 8]; le droit au respect du secret professionnel [art. 9].

Considérant que je crois que j'avais, j'ai et j'aurai toujours des : Garanties juridiques 7. Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne ; il ne peut être porté atteinte à ce droit qu'en conformité avec les principes de justice fondamentale. 8. Chacun a droit à la protection contre les fouilles, les perquisitions ou les saisies abusives. 9. Chacun a droit à la protection contre la détention ou l'emprisonnement arbitraires. 10. Chacun a le droit, en cas d'arrestation ou de détention : a) d'être informé dans les plus brefs délais des motifs de son arrestation ou de sa détention ; b) d'avoir recours sans délai à l'assistance d'un avocat et d'être informé de ce droit ; c) de faire contrôler, par habeas corpus, la légalité de sa détention et d'obtenir, le cas échéant, sa libération. 11. Tout inculpé a le droit : a) d'être informé sans délai anormal de l'infraction précise qu'on lui reproche ; b) d'être jugé dans un délai raisonnable ; c) de ne pas être contraint de témoigner contre lui-même dans toute poursuite intentée contre lui pour l'infraction qu'on lui reproche ; d) d'être présumé innocent tant qu'il n'est pas déclaré coupable, conformément à la loi, par un tribunal indépendant et impartial à l'issue d'un procès public et équitable ; e) de ne pas être privé sans juste cause d'une mise en liberté assortie d'un cautionnement raisonnable ; f) sauf s'il s'agit d'une infraction relevant de la justice militaire, de bénéficier d'un procès avec jury lorsque la peine maximale prévue pour l'infraction dont il est accusé est un emprisonnement de cinq ans ou une peine plus grave ; g) de ne pas être déclaré coupable en raison d'une action ou d'une omission qui, au moment où elle est survenue, ne constituait pas une infraction d'après le droit interne du Canada ou le droit international et n'avait pas de caractère criminel d'après les principes généraux de droit reconnus par l'ensemble des nations ; h) d'une part de ne pas être jugé de nouveau pour une infraction dont il a été définitivement acquitté, d'autre part de ne pas être jugé ni puni de nouveau pour une infraction dont il a été définitivement déclaré coupable et puni ; i) de bénéficier de la peine la moins sévère, lorsque la peine qui sanctionne l'infraction dont il est déclaré coupable est modifiée entre le moment de la perpétration de l'infraction et celui de la sentence. 12. Chacun a droit à la protection contre tous traitements ou peines cruels et inusités. 13. Chacun a droit à ce qu'aucun témoignage incriminant qu'il donne ne soit utilisé pour l'incriminer dans d'autres procédures, sauf lors de poursuites pour parjure ou pour témoignages contradictoires. 14. La partie ou le témoin qui ne peuvent suivre les procédures, soit parce qu'ils ne comprennent pas ou ne parlent pas la langue employée, soit parce qu'ils sont atteints de surdité, ont droit à l'assistance d'un interprète.

Considérant que je crois qu'au Québec : Tous sont tenus de respecter les droits et libertés de la personne. Dans la mesure où la Charte reconnaît que tous les individus sont égaux en valeur et en dignité, tous sont donc tenus, dans leurs rapports sociaux, de respecter les droits et libertés d'autrui. Sont également tenus de se conformer à la Charte : tous les groupes et organismes; toutes les entreprises privées; tous les services, publics ou privés; toutes les administrations gouvernementales (provinciales, municipales, scolaires…); le gouvernement du Québec et ses institutions, à tous les échelons de la hiérarchie. Au Québec, personne ni aucune organisation de compétence provinciale ne peut en fait se soustraire à la Charte [article 55].

Considérant que je crois que : Les seules organisations qui échappent à l'application de la Charte sont, en fait, les institutions de compétence fédérale comme, par exemple, la fonction publique fédérale, les banques, les entreprises de télécommunications, les services de transport aérien, ferroviaire ou maritime… Dans ces cas, c'est la Loi canadienne sur les droits de la personne qui s'applique et c'est la Commission canadienne des droits de la personne qui peut intervenir.

Pour toutes ces raisons : Il est fortement recommandé que toute cette histoire soit stigmatisé devant LA COUR SUPÉRIEUR DU QUÉBEC Chambre Civile et Chambre criminel dans les plus brefs délais, afin de renforcer : La Charte canadienne des droits et libertés dans MON PAYS le CANADA ainsi que de renforcer : La Charte des droits et libertés de la personne dans MA PROVINCE de QUÉBEC. 

Je reconnaît que le ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs m'a toujours accompagné tout au long de ce long processus, et qu'IL m'accompagne présentement, et qu'IL m'accompagnera jusqu'à SON RETOUR.

En attendant, 
je vous rappelle que suite à un décret du 
ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs
j'ai été décrété  le 25 décembre 2002
PAR LUI, AVEC LUI, ET EN LUI
comme étant
MAÎTRE DAVID II
STIGMATISEUR & REPRÉSENTANT LÉGAL de
SERGE JOSEPH Because the one who sends me gives life as much as it takes away life. I you 4 reverse side asks to believe me by wishing you a very GOOD YEAR OF 2002 OF REPENTANCE À my respect and in several respect unquestionably. That GOD the FATHER of OUR - LORD JESUS CHRIST ENFANTÉ PAR LA VIERGE MARY PLEINE OF FAVOUR, fills you the heart of necessary light Adrien Bourassa-Lacombe
VERDUN (QUÉBEC) CANADA 20 JUIN 1957 O9:12


Je me souviens très bien être arrivée à l'Hôpital de Verdun le 18 juillet 1995 entre le coucher du soleil 20:38 et le crépuscule 21:14. Pour comprendre l'état de mon arrivée à l'Hôpital, il faut savoir que cette journée là j'ai été refusé dans cinq cliniques médicale. Pourtant, j'étais très bien vêtu et très propre de ma personne en plus d'avoir en ma possession ma carte d'assurance maladie avec ma photo. Mes parents me surnommaient le sans abris de luxe, alors que mes amis étaient tous abasourdis face à toute cette affaire. 

Fait à noter cette deuxième page de ce rapport numéroté de 56 à 59 porte la pagination 56, on y voit très bien rapporté par le Docteur Laurent Boisvert du Centre Hospitalier de Verdun que je me suis présenté de moi même à l'Hôpital. En plus, la révélation d'une prophétie qui c'est accompli, qui s'accompli, qui va s'accomplir et qui s'accomplira par la GRÂCE de DIEU par l'HÉRITAGE que le ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs nous a donné : «Envoyé de DIEU pour mettre fin à la corruption & de grands événements auront lieu sous peu & il est là pour tout régler» Médication dans le passé très certaine, actuellement probablement pas. Je remercie DIEU NOTRE-PÈRE d'avoir permis que ce soit révélé après 70 mois. 

Le Docteur Boisvert écrit aussi : psychose paranoïde, hospitalisé en avril 1995, serait PMD, actuellement en délire paranoïde aigu. Complot médical depuis des années pour détruire son corps. Complot plus général contre le monde. Patient présente un potentiel de dangerosité évident.

Je tiens à remercier DIEU NOTRE-PÈRE d'avoir permis au Docteur Laurent Boisvert d'avoir été jusqu'à écrire en particulier ce qui est rouge et gras. Car ces propos ne sont jamais sorti de ma bouche en tout temps, en tout lieu, et en toute circonstance. Et les témoins sont nombreux. Vous remarquez comme moi ce qui est surligné en jaune comme étant la véracité de ma déclaration faîte au Docteur Laurent Boisvert ce qui se veut aussi une Prophétie : «Envoyé de DIEU pour mettre fin à la corruption, de grands événements auront lieu sous peu, est là pour tout régler.» On voit ce que je suis devenu après 7 ans et demi par la GRÂCE de DIEU. Vous devez savoir que le temps pour DIEU est très important selon SA VOLONTÉ et non la notre : 

«tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.» 2 Pierre 3:7-9

Je me souviens très bien avoir attendu patiemment dans la salle d'attente. Je me souviens très bien de cette journée pour ne pas avoir ni déjeuner, ni dîner, ni souper à cause d'un injustice social terrible. Vous connaissez le jeûne et j'ai jeûné tout au long de la journée car mes pieds nécessitait d'être pris en charge par la médecine, malgré le fait que je possédais toute mais connaissance en Santé Animale. Je ne réussissais pas à prendre soin de mes pieds parce que DIEU ne le permettait pas. Je savais par contre que mes pieds souffraient d'avoir trop marché. Cela faisait depuis ma sorti du CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE de SHERBROOKE que je marchais plusieurs kilomètres par jour. Mes pieds souffraient de pieds d'athlètes sévère accompagné de champignon microscopique. 

Le Docteur Laurent Boisvert est venu à ma rencontre vers 22:15 puis m'a amené dans une pièce fermé. Le Docteur nous savait seul, cependant nous ne l'étions pas car DIEU était avec moi, SON FILS JÉSUS LE CHRIST de NAZARETH celui qui a été enfanté de la VIERGE MARIE était avec moi et l'HÉRITAGE qu'IL nous a laissé voire l'ESPRIT-SAINT. Car il est écrit : 

«et qui sont élus selon la prescience de Dieu le Père, par la sanctification de l'Esprit, afin qu'ils deviennent obéissants, et qu'ils participent à l'aspersion du sang de Jésus Christ: que la grâce et la paix vous soient multipliées! Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus Christ d'entre les morts, pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux,»1 Pierre 1:2-4

Le Docteur Boisvert me posa la question suivante : «Qu'est-ce je peux faire pour toi?» Plutôt que de me demander montre moi donc tes pieds. J'enlève rapidement mon soulier ainsi que le bas que je porte à ce moment là dans mon pied droit, puis je saisi mon pied droit de mes deux mains pour le porter à la hauteur du visage du Docteur Boisvert. Je lui dis au même moment : «R'garde Docteur, R'garde Docteur, mon pied les deux sont pareils.» Puis je dépose mon pied à terre et je lui tourne le dos en détachant mes pantalons, les baissant jusqu'en bas des genoux en saisissant aussi mes sous vêtement au passage en lui disant : «R'garde Docteur, R'garde Docteur, j'ai jamais eu l'entrejambe hérité de même de ma vie à cause d'une injustice sociale. Je relève mes pantalons et je remets le bas et le soulier que j'avais enlevé pour lui démontrer mes problèmes cutanés. Car je marchais sur des ampoules depuis plusieurs semaines. Je lui explique que suite à un croisement d'identité entre moi et un autre individu, j'ai été conduis au CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE de SHERBROOKE un endroit ou est-ce que j'ai été gardé 57 jours sans ordonnance de court et que j'y ai subi contre mon gré des tortures chimiques terrible : Lithium, Haldol, Dalmane, Rivotril, Ativan...» Et que J'aimerais que pour avoir accès à mon rapport médical l'Hôpital de Sherbrooke me demande de passer par un médecin. Je lui demande alors de téléphoner au CHUS pour faire venir mon dossier médicale CHUS 398 068 pour qu'on puisse le regardé ensemble. Je lui dis qu'une Fondation existe et porte mon nom soit Serge Bourassa-Lacombe afin de prévenir cela à d'autres personnes. 

Puis le Docteur Boisvert me demande s'il y a d'autres choses. Je me souviens de lui avoir réponds : «J'ai faim, que je n'ai pas déjeuner, je n'ai pas dîner, et que je n'ai pas non plus souper car je voulais désengorger la salle d'urgence de l'Hôpital. Je lui explique que je me suis adressé à cinq cliniques médical à Montréal en plus du CLSC Saint-Henri pour finalement aboutir devant lui.» Le Docteur Boisvert m'annonce que la cuisine est fermée. Je vous rappelle que j'ai toute mes connaissances en Santé Animale et que le Docteur Laurent Boisvert est l'Urgentologue. Je n'ai pas à lui demander de me mettre sous soluté car il est Urgentologue et je sais que pour travailler comme médecin au Québec il se doit d'avoir fini ces études universitaire en Santé. 

Je lui fait comme réponse : C'est correct, donne-moi douze jus, ça peut être 12 jus de pomme ou douze jus d'orange. Vous pouvez même les mélanger 6 contre 6 ou 8 contre 4. Le Docteur Boisvert demande qu'on m'apporte du jus. Il me donne deux bouteilles de jus contenant de 6 onces. J'ai ouvert et bus les deux bouteilles simultanément à la vitesse d'un homme assoiffé, déshydraté qui n'a rien absorbé de la journée. Je demande au Docteur Boisvert de m'apporter d'autres jus. Il me dit alors :«Y en a plus !» Je lui ai répondu alors : «Y en manque dix, trouves en d'autres ça presse.» je remarquais qu'il n'était pas pressé de me soigner les pieds, essayant de me faire perdre le contrôle de mon humeur. Le Docteur Laurent Boisvert m'arrive avec deux autre bouteilles de jus. Il remarquais donc qu'il m'avait menti, après avoir bus ces deux autres bouteilles, je n'avais ingurgité que 24 onces de liquide. Je lui en redemande donc encore huit autres. Le Docteur me dit alors qu'il n'en a vraiment plus. Je lui dit alors qu'il est présentement 22:30 et qu'il dans ce cas-ci mandaté quelqu'un qui pourrait se rendre chez Mc Donald avant la fermeture de 23:00. J'airais besoin pour satisfaire ma faim de deux trois Big Mac avec une gosse frite et une grosse root beer.

Devant l'incompréhension du Docteur Boisvert et de l'équipe médicale. Je me souviens d'avoir pris dans une poche de mon veston trois petite ampoules buvables de Ginseng et de Gelée Royale que j'ai ouverte et que j'ai bu en tenant les trois bouteilles ensemble. Puis j'ai remis les bouteilles vide au Docteur Boisvert en lui disant que c'était un produit naturel importé de Chine qui n'avait aucun effet secondaire, et qu'on ne peut pas développe non plus de dépendance face au produit. De plus je lui fait remarquer qu'il ne m'amènera pas dans un état d'hypoglycémie voire un manque de sucre dans le sang. Tout ce temps là Docteur Laurent Boisvert refusait de me traiter, moi qui avait 8 pansements par pied causé par ampoule sur ampoule sur ampoule + fongus (champignon) + pied d'athlète (voire athletic foot). Devant la non volonté du corps médical de cette journée du 18 juillet 1995 et constatant que je ne pouvais plus avancer, je voyais que ces gens n'agissaient pas selon la VOLONTÉ de DIEU et qu'ils n'étaient pas à l'image de JÉSUS LE CHRIST de NAZARETH. Car je me souviens : 

«Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.» Matthieu 5:44-45 «Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes.» Matthieu 7:12

C'est à ce moment là que j'ai dit au médecin écoute moi bien Docteur : «Je ne te veux pas de mal, mais j'ai mal aux pieds. Je n'ai point mal à la tête alors si tu ne veux pas me soigner les pieds mais que tu désir m'amener dans un état d'hypoglycémie. Si c'est vraiment ça que tu veux faire alors qu'avec ma carte d'assurance maladie et ma photo je suis en droit de recevoir des soins aux pieds. Si vraiment tu ne veux pas me soigner les pieds appelle la police. Ça presse car ils verront bien eux que j'ai mal aux pieds.»

Je me souviens, c'était vers 23:00 qu'un policier du Service de Police de la Communauté Urbaine de Montréal (SPCUM) est venu se placer derrière moi, il était vêtu d'une chemise blanche donc c'était le Commandant. Puis un policier par derrière l'autre sont venus m'entourer. J'étais entourer de huit policiers armés, il y en avait un autre dans le corridor et il y en avait d'autre dans la rue, car celui qui était dans le corridor de même que le Commandant avaient un Walkies-talkies. Tous d'eux le portaient à la ceinture et ne parlaient pas, par contre une voix sortaient de leurs Walkies-talkies donc il y en avait aussi à l'extérieur du Centre Hospitalier de Verdun. Ceux qui m'entouraient étaient tous placés hors de ma portée et ils avaient tous peur de moi. Aujourd'hui, je suis en droit de savoir : Qu'est que le Docteur Laurent Boisvert a dit aux policiers lors de sa conversation téléphonique pour voir un tel renfort. Le Docteur vraiment tordu les faits pour éventuellement être accusé entre autres de méfaits publiques. 

Je me souviens que le Commandant c'est adressé à moi devant les autres en me disant : «Là y a un lit, tu vas te coucher!» C'est alors que j'ai compris qu'ils avaient tous été induis en erreur par le Docteur Laurent Boisvert. Je lui dit alors : «Hein ! Je n'ai pas à me coucher sur ce lit moi, je ne suis pas agressif mais pieds me mon souffrir et le médecin ne veux pas me guérir. C'est pour cela que vous êtes ici, c'est moi qui a demandé au médecin de vous apellé car il ne voulait pas me soigner les pieds.» Lorsque je m'exprime devant eux je gesticule en pointant tout d'abord mes pieds puis le Docteur Boisvert avec ma main droite et regardant le Docteur entre deux policiers. C'est alors que le Commandant ce gonfle le torse en me disant : «Veux-tu qu'on utilise la force !...» C'est alors que j'ai perdu le contrôle de moi en m'abandonnant en me gonfle le torse en grondant comme un ours et en leurs répétant : «Hein ! Je n'ai pas à me coucher sur ce lit moi, je ne suis pas agressif mais pieds me mon souffrir et le médecin ne veux pas me guérir. C'est pour cela que vous êtes ici.» 

«vous serez menés, à cause de moi, devant des gouverneurs et devant des rois, pour servir de témoignage à eux et aux païens. Mais, quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez ni de ce que vous direz: ce que vous aurez à dire vous sera donné à l'heure même; car ce n'est pas vous qui parlerez, c'est l'Esprit de votre Père qui parlera en vous.» Matthieu 10:18-20

Je me souviens qu'à ce moment là, le policier qui avait les plus gros bras c'est avancé vers moi, il pris sa main droite devant, l'équipe médicale et l'équipe policière, et l'appuya gauche en exécutant une pression latérale en direction du lit. Je remarque qu'à ce moment là sans effort de ma part je ne bouge même pas d'un millième de millimètre. C'est comme si j'étais devenu une statut de cuivre et que je découvre que la parole de DIEU est VIVANTE :

«Je vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir. C'est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir. Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses.» Marc 11:23-25

Je remarque ensuite sur le front du policier en action la formation de deux gouttelettes de sueur qui tombent au sol. Je me souviens d'avoir eu une pensée pour Richard Barnabé sans savoir qu'il y aurait par la suite Jean-Pierre Lizotte. Je suis donc historiquement venu vivre cette expérience entre ces deux hommes et je suis capable de vous apprendre pourquoi j'ai survécu alors que messieurs Barnabé et Lizotte sont tous deux décédés. C'est par la GRÂCE de DIEU et la FOI qu'IL m'a été donné que j'ai vécu et survécu à toutes ces épreuves, et toutes ces épreuves font parti du destin que le ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs a choisi pour moi afin de construire un PAYS MEILLEUR ! Voici, je me souviens de la suite de mon histoire, j'ai dis: «OK ! OK ! Les gars, j'ai compris ! C'est là qu'il faut que je me couche hein ! C'est là qu'il faut que je me couche hein !» En pointant de mes deux main ce lit. C'est alors que trois policiers ont pris la relève de celui qui venait de vider ces forces sur moi en essayant de me pousser vers le lit. Chacun d'eux ont saisi le veston que je portais et ont tiré chacun de leur côté, j'entendais les coutures craquer. Je leur ai dis alors en levant mes deux bras : «Non ! Non ! Je vais me déshabiller tout seul.» Ils ont alors repris leur position initial, j'enlève donc mon veston, mon chandail du Musée des Beaux Arts de Montréal dont le thème en 1995 était l'automobile, moi qui a passé 15 ans de ma vie à oeuvrer dans ce domaine à vendre de l'équipement de garage et des pièces d'autos. Puis j'ai enlevé mes souliers, mes bas et mes pantalons. En me déshabillant, j'ai remarqué que l'atmosphère était pas mal tendu et pour la détendre je leur ai dis spontanément et d'un air fraternel : «Hé les gars ! Je peux tu garder mes petites bobettes hein!...» 

Puis en les pointant de mes deux mains et en les regardant un après l'autre tout en pivotant sur place. forcer sur moi. Ensuite, je me suis placé au côté du lit en disant : «Regardez bien ça vous autres, c'est là qu'il faut que je me couche hein ! C'est là qu'il faut que je me couche hein !» Et tout en balançant mes deux bras chaque côté du corps, en pliant les genoux à trois reprises pour finalement sauter dans les airs de côté sur le lit. Et laissé moi vous dire que de part leur expérience et réaction ils n'avaient jamais vu rien de tel. Car le derrière de ma tête mon fessier et mes chevilles ont touché le matelas au même moment. Les policiers se sont tous regardés et ont dit : «Avez-vous vu ça les gars, avez-vous vu ça les gars.» Je me souviens aussi qu'après avoir été attaché dans ce lit d'hôpital, ils m'ont roulé jusque dans une pièce adjacente. Je me souviens très bien avoir reçu la visite d'un policier être venu dans cette pièce pour me voir dans cette position et me dire : «Demande donc à DIEU qui te libérer maintenant.» Puis par un fait d'entraînement le rire fur quasi généralisé par l'équipe médicale et l'équipe policière.

Puis un infirmier et une infirmière devant le reste de l'équipe médicale et l'équipe policière sont venus m'injecter intra musculairement dans le devant de mes deux cuisses un produit incolore inconnu par moi mais connu par eux en me disant : «On va te donné de l'Haldol pour te calmer.» Je sais que ce n'était pas de l'Haldol car je n'ai point dormi de la nuit alors qu'avec de l'Haldol je me souviens avoir dormi pendant 14 heures le 12 février 1995 et pendant 17 heures et deux minutes le 13 février 1995 dans le dossier CHUS 398 068. 

Je sais que je me retrouve aujourd'hui comme un STIGMATISEUR capable de manifester la VOLONTÉ de DIEU et d'exiger des comptes car je suis comme mon ami Gerry Boulet : 

Toujours vivant - Gerry Boulet

Je suis celui qui marche
Quand l'bonheur en arrache
Quand l'amour le chatouille
Quand la vie le bafouille
Toujours vivant
Je suis celui qui r'garde en avant

Je suis celui qui lutte
Quand la vie le culbute
Je retombe sur mes bottes
Les pieds dans la garnotte
Toujours debout
Je suis celui qui va jusqu'au bout

Je suis celui qui frappe
Dedans la vie
A grands coups d'amour...

Je suis de cette race
Qui veut laisser sa trace
En graffitis fébriles
Sur le béton des villes
Toujours vivant
Je suis celui qui r'garde en avant

Je suis celui qui frappe
Dedans la vie
A grands coups d'amour...

Je suis celui qui passe
Quand les autres se tassent
Au bord de la routine
Je suis celui qui spine
Et qui reste vivant
Je suis celui qui r'garde en avant

Je suis celui qui fonce
La tête dans les ronces
Qui jamais ne renonce
Au plaisir d'être libre...
Et toujours debout
Je suis celui qui va jusqu'au bout

 Je suis celui qui frappe
Dedans la vie
A grands coups d'amour...

Je suis celui qui frappe
Dedans la vie
A grands coups d'amour...

Je me souviens, d'avoir raconté mon histoire tout au long de mon chemin de croix qui dure depuis huit ans déjà. Je me souviendrai toujours dans ma vie avoir été entouré par un groupe de policiers du SPCUM comme vous vous souviendrez toujours que c'est par la PUISSANCE de DIEU si je suis rendu ou je suis présentement après avoir été entouré par un groupe de huit policiers du SPCUM. Je suis survivant de l'épreuve alors que monsieur Richard Barnabé n'a pas eu la même GRÂCE que moi. Son destin est différent du mien car DIEU NOTRE-PÈRE en a décidé ainsi, je suis venu après lui pour que son terrible destin serve à construire un Pays Meilleur ! DIEU a permis que Richard Barnabé puisse vivre une histoire unique, on apprend qu'il se sent déprimé pendant la nuit du 14 décembre 1993, il se rend alors demandé de l'aide dans une église du quartier Ahuntsic, à Montréal. Peut-être vivait-il un éveil spirituel ! Voyant de la lumière au presbytère et n'obtenant aucune réponse du curé, il brise une vitre puis Richard Barnabé s'enfuit et sera rattrapé par des policiers de Montréal qui l'avait arrêté, amené au poste 44 et ensuite conduit à l'hôpital en raison des blessures subies lors de cet incident. Eux qui ont perdu leur sang-froid. Alors qu'ils sont payés pour ne pas le perdre. Richard Barnabé n'allait jamais reprendre connaissance après avoir été «maîtrisé» par six d'entre eux en cellule et qui le mettront dans un coma végétatif; Sans jamais avoir repris conscience, il moura en mai 1996 après 28 mois de coma végétatif. André Cédilot de La Presse résume ainsi l'opinion publique: «Je ne peux pas comprendre que la police arrête une personne dépressive et que cette personne se retrouve dans la tombe.»

Et que monsieur Jean-Pierre Lizotte suite a eu une altercation avec le portier du Shed Café, Steve Deschâtelets, dans la nuit du 5 septembre 1999, vers 2h30 parce que monsieur Lizotte se masturbait devant des clients, selon ce qui a déjà été dit au cours du procès. C'est ce qu'Aline Russo, une jeune femme qui se trouvait sur la terrasse en compagnie d'amis, a raconté hier au procès de Giovanni Stante. Ce policier de Montréal âgé de 34 ans est accusé de l'homicide involontaire de Jean-Pierre Lizotte, un sans-abri de 45 ans, resté paralysé à la suite de son arrestation, et mort d'une pneumonie à l'hôpital 41 jours plus tard. La stupéfaction de voir un policier frapper au visage monsieur Lizotte alors qu' «Un coup n'attendait pas l'autre», a-t-elle dit hier, avant d'ajouter qu'à ce moment, les réactions des gens sur la terrasse ont changé. Si ceux-ci convenaient que le type devait être arrêté, ils étaient outrés de voir comment cette arrestation se déroulait. «Le gars était frêle, il ne se défendait pas, il ne réagissait pas. Ça nous a dérangés, on ne s'attendait pas à ça. Les gens ont commencé à crier: assez, c'est assez.»

Je sais aussi que : Plus que ça traîne et plus que ça coûte cher en coûts sociaux car je demeure un outil sous  utilisé depuis huit ans déjà alors que les besoins sont tellement grand dans MA PROVINCE le QUÉBEC & dans MON PAYS le CANADA et je crois par les RÉVÉLATIONS que je reçois du ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs que le temps presse et qu'il n'est pas bon de continuer à laisser traîner cette injustice plus longtemps car je me souviens d'avoir écrit pour LUI :

Le travail de DIEU est toujours en progression pour SA CRÉATION VOIRE SERGE BOURASSA-LACOMBE FONDATION depuis le 12 février 1995 selon JEAN 14:11-15 : «Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. Si vous m'aimez, gardez mes commandements.»

MAÎTRE DAVID II EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ VOUS DIT QUE  Le temps est venu d'accomplir cette PROPHÉTIE DE JACQUES CARTIER II - 01 JUIN 2002 02H24  
JACQUES CARTIER II - 01 JUIN 2002 02H24 - PROPHÉTIE
www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/08072002prophetie.htm
 

 

Vous dirige au Dossier Médicale CHA 1411 & MAÎTRE DAVID II - STIGMATISATEUR VUE D'ENSEMBLE !...

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